mardi 10 février 2009

Sunday 1 February
Russians call for the resignation of Vladimir Putin
Since the start of the financial crisis, Russia has had to face many problems. First the Russian currency, the rouble, has slumped dramatically. Then oil prices dropped together with the industrial production, which brought about a major rise of unemployment.
In order to face these problems, the government invested billions of dollars to bail out the banks.
Many demonstrations in several cities gathering thousands of people took place Saturday 31 January and in particular one of the largest in Moscow with demonstrators calling for the resignation of Prime Minister Vladimir Putin.
He was especially blamed for the crisis with demonstrators chanting "The crisis is in the heads of the authorities, not in the economy!" or even “Russia without Putin! ”
The chief of the Communist Party Gennady Zyuganov declared the economic crisis had exposed the bankruptcy of Mr Putin's policies.
The Communist party in Moscow advocates a return to the centralized economic policy of the Soviet Union.
The position of Vladimir Putin today is seriously questioned.
Diana
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7862370.stm
http://www.themoscowtimes.com/article/600/42/374079.htm

My point of view: The economic crisis which is currently hitting the Whole world showed a serious problem in the management of the Russian economy which is allotted to Prime Minister Vladimir Putin. The demonstrations which took place show that the Russian population decided to react and to voice their discontent to the leaders. This would never have been possible years ago when Russians could not express themselves without being censured. Nowadays Russians enjoy a certain level of freedom even if the government always tries to curb it. This will maybe change the present situation.

Dimanche 1 février :
Les Russes demandent la démission de Vladimir Poutine
Depuis la crise financière, la Russie a dû faire face à de nombreux problèmes. Tout d’abord, le rouble s’est fortement déprécié puis au fur et à mesure que le prix du pétrole a baissé, la production industrielle a décliné, ce qui a entrainé une forte hausse du chômage.
Afin de faire face à ces problèmes, le gouvernement a investi des milliards de dollars pour venir en aide au système bancaire.
De nombreuses manifestations dans plusieurs villes rassemblant des milliers de personnes ont eu lieu samedi 31 janvier et notamment une des plus grandes à Moscou lors de laquelle les manifestants ont réclamé la démission du Premier ministre Vladimir Poutine.
Celui-ci a alors été désigné comme un des principaux responsables de la crise. Les manifestants scandaient «La crise est dans la tête des autorités, et non dans l’économie!» ou même «La Russie sans Poutine!»
Le chef du parti communiste Gennady Zyuganov a déclaré que la crise économique a révélé la faillite de la politique de M. Poutine.
Le parti communiste réclame un retour à la politique économique centralisée de l’Union Soviétique.
La position de Vladimir Poutine est aujourd’hui sérieusement remise en question.
Diana
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7862370.stm
http://www.themoscowtimes.com/article/600/42/374079.htm

Mon point de vue : La crise économique qui touche actuellement le monde entier a mis en lumière en Russie un sérieux problème dans la gestion de l’économie qui fait partie des attributions du Premier ministre Vladimir Poutine. Les manifestations qui ont eu lieu montrent que la population russe a décidé de réagir et de faire part aux dirigeants de leur mécontentement. Ceci n’aurait jamais été possible par le passé quand les Russes ne pouvaient s’exprimer librement. Aujourd’hui une certaine liberté d’expression est possible en dépit de la répression gouvernementale. Ces manifestations sont peut-être de nature à changer la situation actuelle.

mercredi 4 février 2009

Sunday 25 January
Gas flows again
On Monday January 19, Russia and Ukraine signed a contract to resume the gas supplies from Russia. The gates have been reopened, reassuring everybody. The European countries were resupplied in energy that very day.
The Russian energy company Gazprom and the Ukrainian Naftogaz agreed a deal in Moscow which garantees supplies between the two countries for ten years (2009 to 2019).This agreement has to be a safety for the future, so that such a crisis won’t repeat itself.Prime Minister Vladimir Putin and his Ukrainian counterpart Yulia Tymoshenko seemed satisfied with the agreement. Ukraine will take advantage of a tariff reduction, a 20 per cent discount under condition for this year. Tymoshenko said she was "very grateful to Vladimir Putin and his team for his readiness to provide special conditions for Ukraine in 2009." She considers the outcome of her negotiations as a real victory for her country, although the advantages are lesser with regard to those from whom it benefited two weeks previously, before the conflict.
My opinion: Earlier this month, the problem made the headlines of newspapers and worried all the European. The conflict which was raging between the Russian giant Gazprom and the Ukrainian Naftogaz threatened all Europe of a big part of its supplies in gas. Ukraine which had always had the privilege to pay the Russian gas $50 the 1000 cubic meters instead of $230 on the European market, that is less than quarter of the normal price, represented a real loss for Gazprom.
Seçil
http://www.itar-tass.com/eng/level2.html?NewsID=13486609&PageNum=4
http://www.russiatoday.com/news/news/36363
http://en.rian.ru/world/20090119/119702631.html

Dimanche 25 janvier

Le gaz est de retour
Lundi 19, la Russie et l'Ukraine ont signé un contrat pour assurer les approvisionnements en gaz en provenance de Russie. Les vannes ont été rouvertes, apaisant les craintes de chacun. Les pays européens recevaient du gaz le jour-même.
La société russe Gazprom et l'ukrainien Naftogaz se sont entendus à Moscou pour assurer les approvisionnements entre les deux pays pour dix ans (de 2009 à 2019). Cet accord doit être une sécurité pour l'avenir, afin qu'un tel événement ne se reproduise plus. Le Premier ministre russe Vladimir Poutine et son homologue Ukrainienne Yulia Tymoshenko ont semblé satisfaits de l'accord. L'Ukraine profitera d'une réduction tarifaire, un escompte de 20 pour cent, sans conditions, pour cette année. Tymoshenko a affirmé qu'elle était "très reconnaissante à Vladimir Poutine et son équipe pour avoir bien voulu consentir des conditions spéciales à l'Ukraine". Elle considère l'aboutissement de ses négociations comme une réelle victoire pour son pays, bien que les avantages soient moindres par rapport à ceux dont celui-ci bénéficiait deux semaines avant le conflit.
Mon point-de-vue : Au début de ce mois de janvier, la mésentente faisait la une des journaux et préoccupait tous les Européens. Le conflit qui faisait rage entre le géant russe Gazprom et l'ukrainien Naftogaz menaçait toute l'Europe d'une coupure de la majeure partie de ses approvisionnements en gaz. L'Ukraine qui avait toujours eu le privilège de payer le gaz russe 50 $ les 1000 mètres cubes au lieu de 230 $ pour le marché européen, c'est -à-dire moins du quart du prix normal, représentait une réelle perte pour Gazprom.
Seçil
http://www.itar-tass.com/eng/level2.html?NewsID=13486609&PageNum=4
http://www.russiatoday.com/news/news/36363
http://en.rian.ru/world/20090119/119702631.html