Wednesday 14 October
Clinton urges Russia over human rights
As she ends her European tour, US Secretary of State Hillary Clinton has exhorted Russia to respect human rights and the democratic process,
She told Moscow's students of her "great concern" over attacks on human rights activists, saying people should be safe to challenge abuses of authority.
Later Mrs. Clinton will travel to religiously and ethnically mixed Tatars tan, east of Moscow, before returning to the US.
Her five-day European trip included stops in Zurich, London and Belfast.
On Tuesday she met Russia's Foreign Affairs Minister Sergei Lavrov and President Dmitry Medvedev, but failed to win specific pledges from Moscow on tougher sanctions against.
Ajantha
Mercredi 14 octobre
Hillary Clinton termine sa tournée par la Russie
Alors qu’elle termine sa tournée européenne, la Secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a vivement recommandé à la Russie de respecter les droits de l’homme et le processus démocratique.
Elle a parlé à des étudiants de Moscou de sa "grande préoccupation" concernant les attaques contre les défenseurs des droits de l'homme, en disant que la sécurité des personnes qui dénoncent les abus d'autorité devrait être assurée.
Plus tard, Mme Clinton devait se rendre au Tatarstan, une région religieusement et ethniquement hétérogène située à l'est de Moscou, avant de retourner aux États-Unis.
Sa tournée européenne comprenait des étapes à Zurich, Londres et Belfast.
Mardi, elle a rencontré le Ministre des Affaires étrangères Serguei Lavrov et le Président: Dmitri Medvedev mais la rencontre a échoué car Moscou s’est refusé à prendre des engagements spécifiques sur des sanctions plus sévères contre l'Iran.
Ajantha
http://news.bbc.co.uk/2/hi/8306294.stm
lundi 2 novembre 2009
dimanche 1 novembre 2009
well,you know what? The girl i'm describing is a rock star. when i knocked at her door i began to sing with her playing the guitar and she 's been playing it for only 2 years!
she's crazy about scrapbooking. She has got the best album photo i've ever seen .She is an artist.
That 's how she looks to me
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That 's how she looks to me
mardi 20 octobre 2009
Nanotechnologies for Russia
2009/10/06
President Medvedev complained that business had not learned anything during the crisis and still remained oil-dependent. In his mind, the post-crisis economy must be based on knowledge and innovative technologies, rather than on Russia’s industrial abilities, no matter how vast they might be,
He wants Russia to turn out into nanotechnologies.
Accordingly, Russia will spend 318 billion rubles on nanotechnologies during the next six years.
A group of Russian scientists working abroad wrote an open letter to the president in which they set out their concerns about the future of Russian fundamental science.
Medvedev answered: “our goal is to get those people working abroad interested, to offer them adequate working conditions and projects here, in Russia “. He added that the sales volume of the products of Russian nano-industry is due to reach 900 billion rubles by 2015, mostly due to exports, and that Russia must simplify customs rules for the export of high-tech products and build a state order system for such products.
Deborah
http://english.pravda.ru/russia/economics/06-10-2009/109693-nanotechnologies-0
06/10/2009
La Russie s'oriente vers les nanotechnologies
Le président Dimitri Medvedev regrette que les entreprises russes n'aient rien appris économiquement pendant la crise et qu’elles soient toujours orientées vers le marché du pétrole. Selon lui, l’économie d’après crise doit être basée sur des technologies nouvelles plutôt que sur les capacités industrielles de la Russie, même si elles sont importantes. Il souhaite que la Russie oriente son économie vers les nanotechnologies et il a annoncé que la Russie y investirait pour les six prochaines années, 318 Milliards de roubles. Mais le président s’est heurté aux inquiétudes et doutes des scientifiques Russes travaillant à l’étranger. Il leur a répondu lors d’un forum sur les nanotechnologies en leur disant que «les ventes des produits de la nano-industrie russe devraient atteindre environ 900 milliards de roubles d'ici à 2015, surtout grâce aux exportations, ». Il a ajouté: « Notre but est d’intéresser et de recevoir ces gens travaillant à l’étranger, leur offrir des conditions de travail adéquates et des projets ici, en Russie ».
Déborah
Source : http://english.pravda.ru/russia/economics/06-10-2009/109693-nanotechnologies-0
President Medvedev complained that business had not learned anything during the crisis and still remained oil-dependent. In his mind, the post-crisis economy must be based on knowledge and innovative technologies, rather than on Russia’s industrial abilities, no matter how vast they might be,
He wants Russia to turn out into nanotechnologies.
Accordingly, Russia will spend 318 billion rubles on nanotechnologies during the next six years.
A group of Russian scientists working abroad wrote an open letter to the president in which they set out their concerns about the future of Russian fundamental science.
Medvedev answered: “our goal is to get those people working abroad interested, to offer them adequate working conditions and projects here, in Russia “. He added that the sales volume of the products of Russian nano-industry is due to reach 900 billion rubles by 2015, mostly due to exports, and that Russia must simplify customs rules for the export of high-tech products and build a state order system for such products.
Deborah
http://english.pravda.ru/russia/economics/06-10-2009/109693-nanotechnologies-0
06/10/2009
La Russie s'oriente vers les nanotechnologies
Le président Dimitri Medvedev regrette que les entreprises russes n'aient rien appris économiquement pendant la crise et qu’elles soient toujours orientées vers le marché du pétrole. Selon lui, l’économie d’après crise doit être basée sur des technologies nouvelles plutôt que sur les capacités industrielles de la Russie, même si elles sont importantes. Il souhaite que la Russie oriente son économie vers les nanotechnologies et il a annoncé que la Russie y investirait pour les six prochaines années, 318 Milliards de roubles. Mais le président s’est heurté aux inquiétudes et doutes des scientifiques Russes travaillant à l’étranger. Il leur a répondu lors d’un forum sur les nanotechnologies en leur disant que «les ventes des produits de la nano-industrie russe devraient atteindre environ 900 milliards de roubles d'ici à 2015, surtout grâce aux exportations, ». Il a ajouté: « Notre but est d’intéresser et de recevoir ces gens travaillant à l’étranger, leur offrir des conditions de travail adéquates et des projets ici, en Russie ».
Déborah
Source : http://english.pravda.ru/russia/economics/06-10-2009/109693-nanotechnologies-0
mercredi 27 mai 2009
Sunday 17 May
The gap widens between Russia and Nato /Russia-Nato tension gets a turn to the worse
NATO began its military exercises in Georgia Wednesday 6 May. Some 15 countries are taking part in a series of military exercises which are going to take place around Tbilisi, the capital, within the framework of “Partnership for Peace” of which Georgia is member. Partnership for Peace is a NATO program aimed at creating trust between NATO and other states in Europe and the former Soviet Union.
Georgian Defense Ministry spokesperson David Dzhokhadze said that battlefield maneuvers would begin from May 11. Following this decision and in spite of many encouragements from the North Atlantic alliance, Russia refused to take part in the war games. According to the Russian government, holding military operations in a country that has just lost a war is a “gross provocation” and warned of a risk of destabilization in the region. On May 5th, Russian ambassador with the Atlantic Alliance, Dmitri Rogozine, announced that Russia would not participate to the ministerial meeting of the Russian-NATO council that was to be held on May 18-19th. The NATO exercises in Georgia, as well as the eviction of two employees of the Russian mission with the Alliance involved in an “affair of espionage” bound to an Estonian civil servant were used as a pretext to this decision from Moscow.
My point of view:
Without apparent connection, the two cases show that in spite of the détente between Barack Obama and Dmitri Medvedev, relations between NATO and Russia remain fragile. The Georgian file is potentially the most explosive, each side putting the blame on the other.
Seçil
www.cbc.ca/world/2009/05/06/nato-russia-georgia.html
Dimanche 17 Mai
Rien ne s’arrange entre la Russie et L’OTAN
Mercredi 6 mai, l’OTAN a commencé ses exercices militaires en Géorgie. Une quinzaine de pays prendront part à une série d’opérations militaires dans les environs de la capitale, Tbilissi, dans le cadre de « Partenariat pour la Paix » dont la Géorgie est membre. Partenariat pour la Paix est un programme de L'OTAN visant à créer la confiance entre l'OTAN et d'autres états en Europe et l'ancienne Union soviétique.
David Dzhokhadze, le porte-parole du Ministère de la Défense Nationale géorgien, a affirmé que les manœuvres de champ de bataille commenceraient à partir du 11 mai. Suite à cette décision et malgré de nombreux encouragements de l’Alliance, la Russie a refusé se prendre part elle aussi aux opérations militaires. Elle considère qu’effectuer des opérations militaires dans un pays qui vient tout juste de perdre une guerre est une « provocation grossière » et a prévenu qu’il y avait un risque de déstabilisation dans la région. Le 5 mai, l’ambassadeur russe auprès de l’Alliance Dmitri Rogozine a annoncé que la Russie ne participerait pas à la réunion ministérielle du conseil Russie-OTAN qui devait avoir lieu les 18 et 19 mai. Les exercices militaires de L’OTAN en Géorgie aussi bien que le renvoi de deux employés de la mission russe avec l'Alliance dans la structure "d'une affaire d'espionnage" attaché à un fonctionnaire estonien avaient servi de prétexte à cette décision de Moscou.
Mon point de vue :
Les deux dossiers sont entrés en collision vendredi. Sans pour autant être liés, ils montrent, en dépit de la détente apparente entre Barack Obama et Dmitri Medvedev, la fragilité des relations entre l’OTAN et la Russie. Le dossier de la Géorgie serait potentiellement le plus explosif, chaque parti se rejetant mutuellement les responsabilités.
Seçil
www.cbc.ca/world/2009/05/06/nato-russia-georgia.html
The gap widens between Russia and Nato /Russia-Nato tension gets a turn to the worse
NATO began its military exercises in Georgia Wednesday 6 May. Some 15 countries are taking part in a series of military exercises which are going to take place around Tbilisi, the capital, within the framework of “Partnership for Peace” of which Georgia is member. Partnership for Peace is a NATO program aimed at creating trust between NATO and other states in Europe and the former Soviet Union.
Georgian Defense Ministry spokesperson David Dzhokhadze said that battlefield maneuvers would begin from May 11. Following this decision and in spite of many encouragements from the North Atlantic alliance, Russia refused to take part in the war games. According to the Russian government, holding military operations in a country that has just lost a war is a “gross provocation” and warned of a risk of destabilization in the region. On May 5th, Russian ambassador with the Atlantic Alliance, Dmitri Rogozine, announced that Russia would not participate to the ministerial meeting of the Russian-NATO council that was to be held on May 18-19th. The NATO exercises in Georgia, as well as the eviction of two employees of the Russian mission with the Alliance involved in an “affair of espionage” bound to an Estonian civil servant were used as a pretext to this decision from Moscow.
My point of view:
Without apparent connection, the two cases show that in spite of the détente between Barack Obama and Dmitri Medvedev, relations between NATO and Russia remain fragile. The Georgian file is potentially the most explosive, each side putting the blame on the other.
Seçil
www.cbc.ca/world/2009/05/06/nato-russia-georgia.html
Dimanche 17 Mai
Rien ne s’arrange entre la Russie et L’OTAN
Mercredi 6 mai, l’OTAN a commencé ses exercices militaires en Géorgie. Une quinzaine de pays prendront part à une série d’opérations militaires dans les environs de la capitale, Tbilissi, dans le cadre de « Partenariat pour la Paix » dont la Géorgie est membre. Partenariat pour la Paix est un programme de L'OTAN visant à créer la confiance entre l'OTAN et d'autres états en Europe et l'ancienne Union soviétique.
David Dzhokhadze, le porte-parole du Ministère de la Défense Nationale géorgien, a affirmé que les manœuvres de champ de bataille commenceraient à partir du 11 mai. Suite à cette décision et malgré de nombreux encouragements de l’Alliance, la Russie a refusé se prendre part elle aussi aux opérations militaires. Elle considère qu’effectuer des opérations militaires dans un pays qui vient tout juste de perdre une guerre est une « provocation grossière » et a prévenu qu’il y avait un risque de déstabilisation dans la région. Le 5 mai, l’ambassadeur russe auprès de l’Alliance Dmitri Rogozine a annoncé que la Russie ne participerait pas à la réunion ministérielle du conseil Russie-OTAN qui devait avoir lieu les 18 et 19 mai. Les exercices militaires de L’OTAN en Géorgie aussi bien que le renvoi de deux employés de la mission russe avec l'Alliance dans la structure "d'une affaire d'espionnage" attaché à un fonctionnaire estonien avaient servi de prétexte à cette décision de Moscou.
Mon point de vue :
Les deux dossiers sont entrés en collision vendredi. Sans pour autant être liés, ils montrent, en dépit de la détente apparente entre Barack Obama et Dmitri Medvedev, la fragilité des relations entre l’OTAN et la Russie. Le dossier de la Géorgie serait potentiellement le plus explosif, chaque parti se rejetant mutuellement les responsabilités.
Seçil
www.cbc.ca/world/2009/05/06/nato-russia-georgia.html
lundi 4 mai 2009
Saturday 28 March
Russia releases Chechnya from security restrictions
Since the fall of the USSR, Russia had launched a second war in Chechnya against terrorism to throw out Islamic rebels, separatists and militants. President Putin had compared Chechen separatists to the Al Qaïda terrorists after September 11, 2001. Russia had thus decided to establish security restrictions in order to curb terrorism by installing road blocks, carrying out research against the Islamic fighters and imposing curfews. Chechnya thus has been host to thousands of Russian federal troops.
During this war the country has suffered heavy losses with destruction of buildings, hospitals, and especially in the Chechen capital, Grozny. This period accelerated unemployment in the country and increased the number of refugees.
Today Chechen president Ramzan Kadyrov states that “Chechnya is one of the quietest regions of Russia”.
Friday March 27 the Russian and Chechen presidents discussed of the way Chechnya will be rebuilt and the economy restarted. Dmitry Medvev declared that “The situation in Chechnya has normalised to a large degree” and that “We must create new possibilities of investment and employment”.
The Russian president has removed security measures even if he assures that the fight against terrorism will not be slowed down in the areas where the violence is continuing, that is to say in the republics of Ingushetia and Dagestan.
Diana
http://www.themoscowtimes.com/article/1010/42/375580.htm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7968847.stm
My point of view: For a long time Chechnya has endured wars waged by Russia against terrorism. Even if it obtained its independence in 1991, it remains systematically controlled by Russia. Moreover the Chechen president follows the policy of the Kremlin, which forces him to accept Russian troops in his country. Security has been restored today but at the expense of very heavy losses. The Chechen president assures that Chechnya is one of the most secure regions of Russia and that the situation is controlled. However Dmitry Medvedev claimed that the fight against terrorism will not be slowed down and expressed a divergent opinion that the war was not over yet and that it would be only stopped when terrorism was destroyed, and so major destructions are still expected.
Samedi 28 mars :
La Russie libère la Tchétchénie du régime spécial
Depuis la chute de l’URSS, la Russie avait lancé une deuxième guerre en Tchétchénie contre le terrorisme pour chasser les rebelles, séparatistes et militants islamiques. Le Président Poutine avait assimilé les séparatistes tchétchènes aux terroristes d’Al Qaïda après le 11 septembre 2001. La Russie avait donc décidé d’instaurer un régime spécial de sécurité afin de lutter contre le terrorisme en installant des barrages routiers, en traquant les combattants islamiques et en imposant des couvre-feux. La Tchétchénie abrite donc des milliers de soldats des troupes fédérales russes.
Durant cette guerre le pays a subi de lourdes pertes avec des destructions de bâtiments, hôpitaux et notamment dans la capitale tchétchène, Grozny. Cette période a accéléré le chômage dans le pays et a augmenté le nombre de sans abris.
Aujourd’hui le président tchétchène Ramzan Kadyrov déclare que « La Tchétchénie est l’une des régions les plus calmes de la Russie ». Vendredi 27 mars, les présidents russe et tchétchène ont discuté sur la façon dont la Tchétchénie va être reconstruite et son économie relancée. Dmitri Medvedev a déclaré que « La situation en Tchétchénie est normalisée dans une large mesure » et que « Nous devons créer de nouvelles possibilités d’investissement et d’emplois ».
Le président russe a supprimé le régime spécial même s’il assure que la lutte contre le terrorisme ne sera pas ralentie dans les régions où la violence se poursuit, c'est-à-dire dans les républiques d’Ingouchie et du Daguestan.
Diana
http://www.themoscowtimes.com/article/1010/42/375580.htm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7968847.stm
Mon point de vue : Depuis longtemps la Tchétchénie subit des guerres contre le terrorisme de la part de la Russie. Même si elle a obtenue son indépendance en 1991, elle reste systématiquement contrôlée par la Russie. De plus le président tchétchène suit la politique du Kremlin ce qui l’oblige à accepter les troupes russes dans son territoire. La situation semble aujourd’hui apaisée mais au prix de très lourdes pertes. Le président tchétchène assure que la Tchétchénie est l’une des régions les plus sûres de la Russie et que la situation est maîtrisée. Cependant Dmitri Medvedev en déclarant que la lutte contre le terrorisme ne sera pas ralentie montre au contraire que la guerre n’est pas finie et qu’elle ne s’arrêtera que lorsque le terrorisme aura été éradiqué ce qui peut encore engendrer des dégâts importants.
Russia releases Chechnya from security restrictions
Since the fall of the USSR, Russia had launched a second war in Chechnya against terrorism to throw out Islamic rebels, separatists and militants. President Putin had compared Chechen separatists to the Al Qaïda terrorists after September 11, 2001. Russia had thus decided to establish security restrictions in order to curb terrorism by installing road blocks, carrying out research against the Islamic fighters and imposing curfews. Chechnya thus has been host to thousands of Russian federal troops.
During this war the country has suffered heavy losses with destruction of buildings, hospitals, and especially in the Chechen capital, Grozny. This period accelerated unemployment in the country and increased the number of refugees.
Today Chechen president Ramzan Kadyrov states that “Chechnya is one of the quietest regions of Russia”.
Friday March 27 the Russian and Chechen presidents discussed of the way Chechnya will be rebuilt and the economy restarted. Dmitry Medvev declared that “The situation in Chechnya has normalised to a large degree” and that “We must create new possibilities of investment and employment”.
The Russian president has removed security measures even if he assures that the fight against terrorism will not be slowed down in the areas where the violence is continuing, that is to say in the republics of Ingushetia and Dagestan.
Diana
http://www.themoscowtimes.com/article/1010/42/375580.htm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7968847.stm
My point of view: For a long time Chechnya has endured wars waged by Russia against terrorism. Even if it obtained its independence in 1991, it remains systematically controlled by Russia. Moreover the Chechen president follows the policy of the Kremlin, which forces him to accept Russian troops in his country. Security has been restored today but at the expense of very heavy losses. The Chechen president assures that Chechnya is one of the most secure regions of Russia and that the situation is controlled. However Dmitry Medvedev claimed that the fight against terrorism will not be slowed down and expressed a divergent opinion that the war was not over yet and that it would be only stopped when terrorism was destroyed, and so major destructions are still expected.
Samedi 28 mars :
La Russie libère la Tchétchénie du régime spécial
Depuis la chute de l’URSS, la Russie avait lancé une deuxième guerre en Tchétchénie contre le terrorisme pour chasser les rebelles, séparatistes et militants islamiques. Le Président Poutine avait assimilé les séparatistes tchétchènes aux terroristes d’Al Qaïda après le 11 septembre 2001. La Russie avait donc décidé d’instaurer un régime spécial de sécurité afin de lutter contre le terrorisme en installant des barrages routiers, en traquant les combattants islamiques et en imposant des couvre-feux. La Tchétchénie abrite donc des milliers de soldats des troupes fédérales russes.
Durant cette guerre le pays a subi de lourdes pertes avec des destructions de bâtiments, hôpitaux et notamment dans la capitale tchétchène, Grozny. Cette période a accéléré le chômage dans le pays et a augmenté le nombre de sans abris.
Aujourd’hui le président tchétchène Ramzan Kadyrov déclare que « La Tchétchénie est l’une des régions les plus calmes de la Russie ». Vendredi 27 mars, les présidents russe et tchétchène ont discuté sur la façon dont la Tchétchénie va être reconstruite et son économie relancée. Dmitri Medvedev a déclaré que « La situation en Tchétchénie est normalisée dans une large mesure » et que « Nous devons créer de nouvelles possibilités d’investissement et d’emplois ».
Le président russe a supprimé le régime spécial même s’il assure que la lutte contre le terrorisme ne sera pas ralentie dans les régions où la violence se poursuit, c'est-à-dire dans les républiques d’Ingouchie et du Daguestan.
Diana
http://www.themoscowtimes.com/article/1010/42/375580.htm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7968847.stm
Mon point de vue : Depuis longtemps la Tchétchénie subit des guerres contre le terrorisme de la part de la Russie. Même si elle a obtenue son indépendance en 1991, elle reste systématiquement contrôlée par la Russie. De plus le président tchétchène suit la politique du Kremlin ce qui l’oblige à accepter les troupes russes dans son territoire. La situation semble aujourd’hui apaisée mais au prix de très lourdes pertes. Le président tchétchène assure que la Tchétchénie est l’une des régions les plus sûres de la Russie et que la situation est maîtrisée. Cependant Dmitri Medvedev en déclarant que la lutte contre le terrorisme ne sera pas ralentie montre au contraire que la guerre n’est pas finie et qu’elle ne s’arrêtera que lorsque le terrorisme aura été éradiqué ce qui peut encore engendrer des dégâts importants.
mardi 10 février 2009
Sunday 1 February
Russians call for the resignation of Vladimir Putin
Since the start of the financial crisis, Russia has had to face many problems. First the Russian currency, the rouble, has slumped dramatically. Then oil prices dropped together with the industrial production, which brought about a major rise of unemployment.
In order to face these problems, the government invested billions of dollars to bail out the banks.
Many demonstrations in several cities gathering thousands of people took place Saturday 31 January and in particular one of the largest in Moscow with demonstrators calling for the resignation of Prime Minister Vladimir Putin.
He was especially blamed for the crisis with demonstrators chanting "The crisis is in the heads of the authorities, not in the economy!" or even “Russia without Putin! ”
The chief of the Communist Party Gennady Zyuganov declared the economic crisis had exposed the bankruptcy of Mr Putin's policies.
The Communist party in Moscow advocates a return to the centralized economic policy of the Soviet Union.
The position of Vladimir Putin today is seriously questioned.
Diana
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7862370.stm
http://www.themoscowtimes.com/article/600/42/374079.htm
My point of view: The economic crisis which is currently hitting the Whole world showed a serious problem in the management of the Russian economy which is allotted to Prime Minister Vladimir Putin. The demonstrations which took place show that the Russian population decided to react and to voice their discontent to the leaders. This would never have been possible years ago when Russians could not express themselves without being censured. Nowadays Russians enjoy a certain level of freedom even if the government always tries to curb it. This will maybe change the present situation.
Dimanche 1 février :
Les Russes demandent la démission de Vladimir Poutine
Depuis la crise financière, la Russie a dû faire face à de nombreux problèmes. Tout d’abord, le rouble s’est fortement déprécié puis au fur et à mesure que le prix du pétrole a baissé, la production industrielle a décliné, ce qui a entrainé une forte hausse du chômage.
Afin de faire face à ces problèmes, le gouvernement a investi des milliards de dollars pour venir en aide au système bancaire.
De nombreuses manifestations dans plusieurs villes rassemblant des milliers de personnes ont eu lieu samedi 31 janvier et notamment une des plus grandes à Moscou lors de laquelle les manifestants ont réclamé la démission du Premier ministre Vladimir Poutine.
Celui-ci a alors été désigné comme un des principaux responsables de la crise. Les manifestants scandaient «La crise est dans la tête des autorités, et non dans l’économie!» ou même «La Russie sans Poutine!»
Le chef du parti communiste Gennady Zyuganov a déclaré que la crise économique a révélé la faillite de la politique de M. Poutine.
Le parti communiste réclame un retour à la politique économique centralisée de l’Union Soviétique.
La position de Vladimir Poutine est aujourd’hui sérieusement remise en question.
Diana
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7862370.stm
http://www.themoscowtimes.com/article/600/42/374079.htm
Mon point de vue : La crise économique qui touche actuellement le monde entier a mis en lumière en Russie un sérieux problème dans la gestion de l’économie qui fait partie des attributions du Premier ministre Vladimir Poutine. Les manifestations qui ont eu lieu montrent que la population russe a décidé de réagir et de faire part aux dirigeants de leur mécontentement. Ceci n’aurait jamais été possible par le passé quand les Russes ne pouvaient s’exprimer librement. Aujourd’hui une certaine liberté d’expression est possible en dépit de la répression gouvernementale. Ces manifestations sont peut-être de nature à changer la situation actuelle.
Russians call for the resignation of Vladimir Putin
Since the start of the financial crisis, Russia has had to face many problems. First the Russian currency, the rouble, has slumped dramatically. Then oil prices dropped together with the industrial production, which brought about a major rise of unemployment.
In order to face these problems, the government invested billions of dollars to bail out the banks.
Many demonstrations in several cities gathering thousands of people took place Saturday 31 January and in particular one of the largest in Moscow with demonstrators calling for the resignation of Prime Minister Vladimir Putin.
He was especially blamed for the crisis with demonstrators chanting "The crisis is in the heads of the authorities, not in the economy!" or even “Russia without Putin! ”
The chief of the Communist Party Gennady Zyuganov declared the economic crisis had exposed the bankruptcy of Mr Putin's policies.
The Communist party in Moscow advocates a return to the centralized economic policy of the Soviet Union.
The position of Vladimir Putin today is seriously questioned.
Diana
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7862370.stm
http://www.themoscowtimes.com/article/600/42/374079.htm
My point of view: The economic crisis which is currently hitting the Whole world showed a serious problem in the management of the Russian economy which is allotted to Prime Minister Vladimir Putin. The demonstrations which took place show that the Russian population decided to react and to voice their discontent to the leaders. This would never have been possible years ago when Russians could not express themselves without being censured. Nowadays Russians enjoy a certain level of freedom even if the government always tries to curb it. This will maybe change the present situation.
Dimanche 1 février :
Les Russes demandent la démission de Vladimir Poutine
Depuis la crise financière, la Russie a dû faire face à de nombreux problèmes. Tout d’abord, le rouble s’est fortement déprécié puis au fur et à mesure que le prix du pétrole a baissé, la production industrielle a décliné, ce qui a entrainé une forte hausse du chômage.
Afin de faire face à ces problèmes, le gouvernement a investi des milliards de dollars pour venir en aide au système bancaire.
De nombreuses manifestations dans plusieurs villes rassemblant des milliers de personnes ont eu lieu samedi 31 janvier et notamment une des plus grandes à Moscou lors de laquelle les manifestants ont réclamé la démission du Premier ministre Vladimir Poutine.
Celui-ci a alors été désigné comme un des principaux responsables de la crise. Les manifestants scandaient «La crise est dans la tête des autorités, et non dans l’économie!» ou même «La Russie sans Poutine!»
Le chef du parti communiste Gennady Zyuganov a déclaré que la crise économique a révélé la faillite de la politique de M. Poutine.
Le parti communiste réclame un retour à la politique économique centralisée de l’Union Soviétique.
La position de Vladimir Poutine est aujourd’hui sérieusement remise en question.
Diana
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7862370.stm
http://www.themoscowtimes.com/article/600/42/374079.htm
Mon point de vue : La crise économique qui touche actuellement le monde entier a mis en lumière en Russie un sérieux problème dans la gestion de l’économie qui fait partie des attributions du Premier ministre Vladimir Poutine. Les manifestations qui ont eu lieu montrent que la population russe a décidé de réagir et de faire part aux dirigeants de leur mécontentement. Ceci n’aurait jamais été possible par le passé quand les Russes ne pouvaient s’exprimer librement. Aujourd’hui une certaine liberté d’expression est possible en dépit de la répression gouvernementale. Ces manifestations sont peut-être de nature à changer la situation actuelle.
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