Sunday 11 December
Gas war
Conflicts broke out between Gazprom, the largest Russian gas company and Naftogaz, the Ukrainian company. The origin of these problems is the incomplete refund of the debts of Ukraine which rise to 2.1 billion dollars (or 1.8 billion Euros).
Moreover Russia accuses the Ukraine “to steal” gas destined to the west of the continent. Dmitri Medvedev declared: “Such thievery can’t be left unaccountable”. The spokesman of the Ukrainian company then answered: “We take gas for technical needs, in order to pass in transit Russian exports”. Many negotiations were tried between Russia and Ukraine but without any success. The two parts did not succeed in finding arrangements following the long meetings of December 31.
Very quickly Russia reduced and stopped shipping gas towards Europe the day after. Balkans, Croatia, Bosnia, Serbia, Macedonia, Bulgaria, the Czech Republic, Poland and Romania were hit by a dramatic reduction in gas supplies, -70% in Italy, - 90% in France and nothing in Greece. This conflict touched all Europe since a quarter of gas supplies come from Gazprom. The United States depends completely on Russian gas (80%).
Yet Sunday 11 December a deal had been signed between the two companies and the delivery is expected to return to normal within 48h.
However, the row between Ukraine and Russia has further underlined the vulnerability of Europe's gas supplies.
Many countries fear a new cut of the routing of Russian gas in the long run, which would be a real disaster for all Europe.
Diana
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7814743.stmhttp://edition.cnn.com/2009/WORLD/europe/01/09/europe.russia.gas.ukraine/index.htmlhttp://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7824510.stm
Dimanche 11 janvier
La Guerre du gaz
Un conflit a éclaté entre Gazprom, la plus grande compagnie de gaz russe et Naftogaz, la compagnie ukrainienne. L’origine de ces problèmes est le remboursement inachevé des dettes de l’Ukraine qui s’élèvent à 2,1 milliards de dollars (soit 1,8 milliards d’euros)
De plus la Russie accuse l’Ukraine de «voler» du gaz destiné à l’ouest du continent. Dmitri Medvedev a déclaré «Un tel vol ne peut pas être laissé impuni ». Le porte-parole de la compagnie ukrainienne a alors répondu «Nous prélevons du gaz pour des besoins techniques, afin de faire transiter les exportations russes».
De nombreuses négociations ont été tentées du côté de la Russie et de l’Ukraine mais sans aucun succès. Les deux parties n’ont pas réussies à trouver d’arrangement suite aux longues réunions du 31 décembre.
La Russie a réduit puis stoppé l’envoi du gaz vers l’Europe le lendemain. Les Balkans, la Croatie, Bosnie, Serbie, Macédoine, Bulgarie, République-Tchèque, Pologne et Roumanie ont très fortement ressenti une réduction des livraisons de gaz, moins 70% en Italie , moins 90% en France et plus rien en Grèce.
Ce conflit touchait toute l’Europe puisque un quart des réserves de gaz viennent de Gazprom. Les Etats-Unis dépendent totalement du gaz russe (80%)
Néanmoins dimanche 11 janvier un accord a été signé entre les deux entreprises et l’approvisionnement en gaz reviendra à la normale dans environ 48h.
Cependant, la ligne entre l’Ukraine et la Russie a souligné la vulnérabilité de l’approvisionnement en gaz de l’Europe.
De nombreux pays craignent une nouvelle coupure de l’acheminement du gaz russe à long terme ce qui serait une véritable catastrophe pour toute l’Europe.
Diana
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7814743.stm
http://edition.cnn.com/2009/WORLD/europe/01/09/europe.russia.gas.ukraine/index.html http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7824510.stm
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