mardi 28 novembre 2017

Journey in the hell of the first Gulag


A century after the fall of Czar Nicholas II and the advent of the Bolsheviks, some gulags have found new inhabitants. On the Solovski Islands, a world-cut archipelago, Russian citizens are now occupying these camps and trying to live a normal life.


To reach the Solovski Islands, you have to take a first plane from Paris, then a second smaller one in Moscow, finally a last shuttle to access these islands. Arriving on the archipelago, the road is catastrophic because the road drives across lakes, forest of fir trees. One can imagine the difficulties that the prisoners encountered to plod through the land. The churches were turned into dungeons for the inmates. They became crazy because of the torture of mosquitoes.


After the Bolshevik Revolution in 1917, the Russian authorities sent thousands of bourgeois, intellectuals and prisoners deemed "counter-revolutionary". Twelve hours a day by a temperature of minus 20°C, the prisoners were logging wood or tilling the ground. 100,000 people died in the archipelago at the time of the gulags. The local cemetery is dubbed the "open Tomb". This archipelago only has a village of a thousand people.


Today, the old camps have been transformed into houses, a minimarket, and small museums of the gulag. The Orthodox monks, who were expelled to make way for the inmates, returned after the fall of the USSR.


The brighter side is that 20,000 tourists come to visit every year. Most don’t come for the memory of the prisoners but on the contrary for the landscape, the churches, and the tranquility of the place.


Source : TF1 News


ANTHONY

Un siècle après la chute du Tsar Nicolas II en Russie et l’avènement des Bolchéviques, certains goulags ont trouvé de nouveaux habitants. Sur les iles Solovski, un archipel coupé du monde, des citoyens russes occupent désormais ces baraquements et tentent de vivre normalement.


Pour se rendre sur les iles Solovski, il faut prendre un premier avion depuis Paris, puis un deuxième plus petit à Moscou, enfin une dernière navette pour accéder à ces iles. Arrivé sur l’archipel, la route est catastrophique car la route passe par des lacs, de sapins et la forêt. On peut imaginer la difficulté qu’éprouvaient les prisonniers pour marcher. Les églises étaient transformées en cachots pour les détenus. Ces derniers devenaient fous à la suite de tortures comme par exemple la torture des « moustiques ».

Après la révolution bolchévique en 1917, les autorités russes envoyèrent des milliers de bourgeois, intellectuels et prisonniers qu’ils estimaient être des « contre-révolutionnaires ». Douze heures par jour par une température de -20°C, ces prisonniers coupaient du bois, travaillaient la terre. 100.000 personnes sont décédées dans l’archipel à l’époque des goulags. On surnomme le cimetière « le tombeau à ciel ouvert ». Cet archipel compte seulement un village d’un millier de personnes.
De plus les anciens baraquements ont été transformés en habitations, avec une seule supérette et un minuscule musée du goulag. Les moines orthodoxes, qui en avaient été expulsés pour faire place aux détenus, sont revenus après la chute de l’URSS.

Le point positif aujourd’hui, c’est que 20.000 touristes viennent ici chaque année, pas pour entretenir la mémoire des prisonniers mais au contraire pour la beauté du paysage, les églises, et la tranquillité du lieu.


Sources : Journal de 20h sur TF1

ANTHONY 


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