SOTCHI: THE HIDDEN SIDE

Sotchi, the Russian city, will host the 22th Olympic Winter Games in a few months but a controversy is raging about the non-compliance with Human Rights.


Since the announcement of the host of the Winter Olympic Games, Russia has done its best to be ready on time. More than 16,000 migrant workers have gone to Sotchi to help with the construction of buildings of all kinds.
Yet, do working conditions respect the Russian labor law?

A report released by Human Rights Watch, an NGO which defends the human rights, denounces the abusive working conditions in the Sotchi area: 12 hours per day, seven days per week for underpaid or inexistent wages; without even mentioning about accommodation problems. According to Human Rights Watch, 66 migrant workers have declared to be paid partially or to have had their passports confiscated.

A migrant worker confided to the Agence France Presse: “During six months I was paid with delay, but now, it has been six-seven months with no salary.” 
Another employee sewed his mouth shut out of protest; he hasn’t got any salary for two months.              

Russia has to react before their Olympic Games begin with a flop.

SOTCHI: LA FACE CACHÉE

        A Sotchi, ville de Russie qui accueillera les XXIIèmes JO d’hiver dans quelques mois, une polémique a éclaté sur le non-respect des droits de l’Homme.


        Depuis l’annonce du pays hôte des JO d’hiver, la Russie a tout mis en œuvre pour pouvoir être prête en temps et en heure. Plus de 16.000  travailleurs migrants sont venus à Sotchi aider la Russie dans la construction de bâtiments en tout genre.
Mais les conditions de travail respectent-elles le droit du travail russe?

        Un rapport de Human Rights Watch, une ONG qui défend les droits humains, dénonce les conditions de travail déplorables des ouvriers sur le site de Sotchi : 12 heures de travail par jour, sept jours par semaine pour un salaire faible ou inexistant ; sans parler des problèmes de logement.
Selon Human Rights Watch, 66 travailleurs migrants ont déclaré n’être payés que partiellement ou s’être fait confisquer leurs papiers d’identité.

        Un travailleur migrant s’est confié à l’Agence France Presse : “Pendant six mois j'ai été payé avec du retard, mais maintenant, ça fait six-sept mois que j'attends l'argent. “ 
Un autre employé s’est cousu la bouche pour protester, il ne reçoit pas son salaire depuis deux mois.

La Russie va devoir réagir avant  que l’image de leurs JO ne souffre de ce fiasco social.

Hugo

Sources:
http://www.rfi.fr/zoom/20131024-sotchi-ong-denoncent-le-traitement-ouvriers-jo2014-Human-Rights-Watch
http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid2800-c-le-jt-de-canal.html?vid=960795
http://www.hrw.org/news/2013/10/28/russia-abuses-tarnish-100-day-countdown-winter-olympics