Domestic
abuse plagues Russia
Marina,
a Russian woman recently told her horrific story which affects many others families.
She, as many Russian women, has been roughly beaten for several years as she showed
a long scar on her heel where a metal plate was inserted. Both her feet were
smashed, as well as her ribs, when she was pushed through the window of their
second-floor flat. Even though she survived and spent three months in a
wheelchair the abuse didn’t stop.
"My face was puffed up and my lip was
split. But even then they didn't detain him. I was in the police station in
tears saying I couldn't go home because he'd beat me if he knew where I'd been",
"But the police said 'this isn't a hotel, we can't keep you here', and
that was it”, Marina said.
According
to police statistic, over 600 Russian women are killed in their house every
month, a fate that Marina managed to escape but despite the recent events
Russia's lower house of parliament, the Duma, has approved an amendment that
removes domestic abuse from the criminal code, which should alarm other
countries on the unfair treatment women currently suffer on a daily basis.
Yanis
Sources :
Le fléau des violences domestiques
Marina a récemment raconté sa
terrible histoire qui affecte de nombreuses autres familles. Elle a été
sévèrement battue pendant de nombreuses années et porte une longue cicatrice
sur son talon qu’il a fallu renforcer avec une plaque de métal. Ses deux pieds
ont été cassés, ainsi que ses côtes, lorsqu’elle fut projetée à travers la
fenêtre du deuxième étage. Même si elle a survécu et a passé trois mois en
fauteuil roulant les violences n’ont pas cessé.
« Mon visage était gonflé et
mes lèvres fendues. Mais malgré cela ils ne l’ont pas emprisonné. J’étais au
commissariat en pleurs leurs expliquant que je ne pouvais pas rentrer chez moi
car il me battrait s’il savait où j’étais allé, mais la police m’a répondu
« ce n’est pas un hôtel, nous ne pouvons vous garder ici », voilà tout »
a dit Marina.
D’après les statistiques de la
police, plus de 600 femmes russes sont tuées à leur domicile chaque mois, un
sort auquel Marina à réchapper mais malgré les récents évènements la chambre
basse du parlement russe, la Douma, a approuvé un amendement qui déqualifie
les violences domestiques, qui ne sont plus considérées comme un crime, ce qui
devrait alarmer les autres pays quant au sort des femmes victimes de brutalités
au quotidien.
Yanis
Sources:
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