jeudi 2 février 2017

Domestic abuse plagues Russia

Marina, a Russian woman recently told her horrific story which affects many others families. She, as many Russian women, has been roughly beaten for several years as she showed a long scar on her heel where a metal plate was inserted. Both her feet were smashed, as well as her ribs, when she was pushed through the window of their second-floor flat. Even though she survived and spent three months in a wheelchair the abuse didn’t stop.

 "My face was puffed up and my lip was split. But even then they didn't detain him. I was in the police station in tears saying I couldn't go home because he'd beat me if he knew where I'd been", "But the police said 'this isn't a hotel, we can't keep you here', and that was it”, Marina said.

According to police statistic, over 600 Russian women are killed in their house every month, a fate that Marina managed to escape but despite the recent events Russia's lower house of parliament, the Duma, has approved an amendment that removes domestic abuse from the criminal code, which should alarm other countries on the unfair treatment women currently suffer on a daily basis.
                                                                                                                                                            
Yanis

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Le fléau des violences domestiques

Marina a récemment raconté sa terrible histoire qui affecte de nombreuses autres familles. Elle a été sévèrement battue pendant de nombreuses années et porte une longue cicatrice sur son talon qu’il a fallu renforcer avec une plaque de métal. Ses deux pieds ont été cassés, ainsi que ses côtes, lorsqu’elle fut projetée à travers la fenêtre du deuxième étage. Même si elle a survécu et a passé trois mois en fauteuil roulant les violences n’ont pas cessé.

« Mon visage était gonflé et mes lèvres fendues. Mais malgré cela ils ne l’ont pas emprisonné. J’étais au commissariat en pleurs leurs expliquant que je ne pouvais pas rentrer chez moi car il me battrait s’il savait où j’étais allé, mais la police m’a répondu « ce n’est pas un hôtel, nous ne pouvons vous garder ici », voilà tout » a dit Marina.

D’après les statistiques de la police, plus de 600 femmes russes sont tuées à leur domicile chaque mois, un sort auquel Marina à réchapper mais malgré les récents évènements la chambre basse du parlement russe, la Douma, a approuvé un amendement qui déqualifie les violences domestiques, qui ne sont plus considérées comme un crime, ce qui devrait alarmer les autres pays quant au sort des femmes victimes de brutalités au quotidien.

Yanis

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