jeudi 14 février 2019

Jehovah’s witnesses targeted by Russian justice

On Monday, after ten months of trial, the court of Orel, a small town located 360 kilometers southwest of Moscow, delivered its verdict: six years of prison for "activities in an extremist organization".
Dennis Christensen, a 46-year-old Danish national became on Wednesday February 6 the the most heavily Jehovah's Witness convicted to date since the decision in 2017 by the Supreme Court of Russia to ban the movement throughout the country.

Christensen's sentencing is part of a campaign against Jehovah's Witnesses and other minority religions. Religious freedom is threatened advocates say, as Russian Orthodox Christians seek to maintain their cultural dominance.

More than a hundred Jehovah's Witnesses are now being prosecuted by Russian justice. "The campaign has intensified sharply since April 2018 when raids and arrests began in various parts of the country. Many believers are accused in criminal cases and detained" says the Russian organization for the defense of human rights Memorial. This same organization has compiled a non-exhaustive list of 81 women and men convicted in this case or pending judgment. Some of them face up to ten years of imprisonment, according to the Russian penal code. Memorial considers them political prisoners "persecuted for their faith".

The judgment of the Supreme Court has no legal basis and is contrary to Article 28 of the Constitution of the Russian Federation which guarantees the right to “freedom of conscience and religion ". The question is particularly sensitive after the religious persecutions of Soviet times. The Russian Orthodox Church for its part considers Jehovah's Witnesses as a cult that must be banned.

LUNA

sources:

https://edition.cnn.com/2019/02/07/europe/russia-dennis-christensen/index.html ;

https://edition.cnn.com/2019/02/07/europe/russia-dennis-christensen/index.html

Les témoins de Jéhovah en ligne de mire

Lundi, après dix mois de procès, le tribunal d'Orel, une petite ville située à 360 km au sud-ouest de Moscou, a rendu son verdict : six ans de prison pour "activités dans une organisation extrémiste". Dennis Christensen, un ressortissant danois de 46 ans, est ainsi devenu, le mercredi 6 février, le témoin de Jéhovah le plus lourdement condamné à ce jour depuis la décision de la Cour suprême de Russie, en 2017, d'interdire ce mouvement dans tout le pays.

La condamnation de Christensen fait partie d'une campagne contre les témoins de Jéhovah et les autres religions minoritaires, selon les défenseurs de la liberté de religion, alors que les chrétiens orthodoxes russes cherchent à maintenir leur domination culturelle.

Plus de cent témoins de Jéhovah sont actuellement poursuivis par la justice russe. "La campagne s'est fortement intensifiée en avril 2018 lorsque des perquisitions et des arrestations ont commencé dans diverses régions du pays. De nombreux fidèles sont inculpés dans des affaires pénales et ont été arrêtés", a déclaré l'organisation russe Mémorial qui milite pour la défense des droits de l'homme. Elle a dressé une liste non exhaustive de 81 femmes et hommes condamnés dans cette affaire ou en attente de jugement. Selon le code pénal russe, certains risquent jusqu'à dix ans d'emprisonnement.

Memorial les considère comme des prisonniers politiques "persécutés pour leur foi" et affirme que l'arrêt de la Cour suprême n'a aucune base légale et est contraire à l'article 28 de la Constitution de la Fédération de Russie qui garantit le droit à la liberté de conscience et de religion ". La question est particulièrement délicate après les persécutions religieuses de l'époque soviétique. De son côté, l'Eglise orthodoxe considère les Témoins de Jéhovah comme une secte à interdire.

LUNA sources : https://www.jw.org/en/news/legal/by-region/russia/jehovahs-witnesses-in-prison/ ; https://edition.cnn.com/2019/02/07/europe/russia-dennis-christensen/index.html

mardi 5 février 2019

Polar bear invasion

Today, climate change is illustrated by melting ice, tsunamis, floods, heat waves, etc… 

All those problems have consequences on wildlife. On February 9, the local authorities of Novaya Zembyla Islands a remote Russian region declared a state of emergency over the intrusion of dozens of polar bears in inhabitations. Authorities declared that polar bears were attacking people and had penetrated into private and public buildings. 

In Russia, polar bears are endangered so hunting them is considered poaching. However, bears need to eat and they can’t find food in the sea anymore so they have to hunt somewhere else that is to say in human towns. But apparently bears had lost their fear of police patrols and signals used to warn them off, meaning that more drastic measures were needed.

Locals started thinking that if fear was not working there remained only one effective way which is slaughter. The archipelago's main settlement, Belushya Guba, has reported a total of 52 bears with between six and ten constantly on its territory. The inhabitants are afraid of letting their children go to school and the bears prevent them from living a normal life. An inhabitant declared that there had never been that many bears in the Islands since 1983. From now on, bears and humans will have to fight if humans continue to destroy their habitat.

Anna


Invasion d’ours polaires

Aujourd’hui, le climat est un problème réel qui est illustré par la fonte des glaces, des tsunamis, des inondations, des canicules, etc. Tous ces problèmes ont des conséquences sur la faune. Le 9 février, les autorités des îles de Nouvelle Zemble, une région éloignée de la Russie, ont déclaré l'état d’urgence en raison de la présence de dizaines d'ours polaires. 

Les autorités ont déclaré que des ours polaires attaquaient des personnes et avaient pénétré dans des habitations, des bâtiments publics. En Russie, les ours polaires sont considérés comme des espèces en voie de disparition et par conséquent les chasser revient a du braconnage. Cependant, les ours ont besoin de manger et ne trouvent plus leur nourriture en mer. Ils doivent donc chasser ailleurs, à savoir dans les villes et apparemment, ils n’ont plus peur des patrouilles de police et des alarmes, ce qui signifie que des mesures plus radicales devront être prises comme l’abattage. 

La principale agglomération de l'archipel, Belushya Guba, a signalé un total de 52 ours, dont six à dix en permanence sur son territoire. Les habitants ont peur de laisser leurs enfantsaller à l'école et ces ours les empêchent de vivre une vie normale. Un habitant a déclaré qu'il n'y en avait jamais eu autant dans les îles depuis 1983. Désormais, les ours et les humains devront s’affronter si les humains continuent à détruire le monde comme ils le font aujourd'hui..

Anna

source: https://www.bbc.com/news/world-europe-47185112

image: https://www.thejournal.ie/photos-of-emaciated-polar-bear-2331154-Sep2015/