mercredi 4 décembre 2019

Will Russia be excluded?


On Monday, November 25, a committee of the World Anti-Doping Agency recommended that Russia be banned from all major competitions for a period of four years. The Compliance Committee (CRC), however, has accepted that Russian athletes not involved in doping may participate in the Tokyo Olympics in 2020 but will be run with neutral colors, that is, they will not be able to represent the colors of their country. In 2018, in Pyeongchang, 168 Russian athletes took part with neutral colors. The final decision on this case will be made by WADA's Executive Committee on December 9th.
Russia can still participate in Euro 2020 because this competition is not considered a major competition. St. Petersburg will remain a host city of the euro. Russia's participation in the 2022 World Cup in Qatar, however, would be threatened. "No decision will be taken by FIFA before the last deliberations of the executive committee of Wada," said Tuesday the director of FIFA.
Last year, the World Anti-Doping Agency returned to Russia in exchange for the release of data from the Moscow anti-doping laboratory. These data revealed the results of so-called "original" anti-doping tests in the dark years of the country (2011-2016).



                                   Quatre ans d’exclusion pour les sportifs russes ?


Ce lundi 25 novembre un comité de l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) a recommandé que la Russie soit bannie de toutes compétitions majeures pendant quatre ans. Le comité de conformité (CRC) a cependant accepté que les athlètes russes non-impliqués dans le dopage participent aux jeux olympiques de Tokyo en 2020 mais sous bannière neutres, c’est-à-dire qu’ils ne pourront pas représenter leur payslors des J-O. En 2018, à Pyeongchang, 168 sportifs russes avaient participé sous pavillon neutre. La décision finale sera prise par le comité exécutif de l’AMA le 9 décembre prochain.
La Russie pourra tout de même participer à l’Euro 2020 car cette compétition n’est pas considérée comme une compétition majeure. Ainsi Saint-Pétersbourg restera une ville-hôte lors de l’Euro. La participation de la Russie a la coupe du monde 2022 au Qatar serait toutefois menacée. « Aucune décision ne sera prise par la FIFA avant les dernières délibérations du comité exécutif de l’AMA» a annoncé le directeur de la FIFA ce mardi.
L’année dernière la Russie avait été réintégrée par l’Agence Mondiale Antidopage en échange de la remise de données du laboratoire antidopage de Moscou. Ces données révélaient les résultats des tests antidopage dits « originaux » lors des années noires du pays (2011-2016).



                                                                                                                                    Axel




Sources : https://www.bbc.com/sport/olympics/50594971

https://www.bbc.com/sport/football/50563736

https://www.lemonde.fr/sport/article/2019/11/25/la-russie-menacee-d-une-exclusion-de-quatre-ans-du-sport-international_6020497_3242.html

jeudi 28 novembre 2019

La Russie pourrait recevoir un carton rouge

L'Agence mondiale antidopage (AMA) pourrait interdire de compétitions internationales les athlètes russes et ajouter de nouvelles sanctions. Cette décision pourrait suivre la découverte que l’Agence Russe Anti-dopage avait supprimé des tests de sa base de données.
Le rapport réalisé après quatre années d’enquête démontre que les Russes ne respectent pas les règles anti-dopage. Les conclusions sont qu'ils manipulent la base de données pour fournir de fausses preuves qu'ils ne trichent pas.

La sanction serait que la Russie est exclue non seulement des Jeux olympiques de Tokyo, mais aussi de toute une série de compétitions sportives. Mais les conséquences de cette décision pèseront sur les sportifs russes : en effet la Russie serait interdite pendant quatre ans de toutes les compétitions internationales qui ont signé la charte de l’AMA.

Les instances qui ont ratifié la charte incluent les dirigeants de la FIFA, organisateur de la Coupe du monde de football 2022. La Russie serait également interdite d'assister à des manifestations sportives internationales et d’en être le pays hôte pendant quatre ans.

On ignore combien d’athlètes russes seraient exclus si la sanction demandée par le rapport est appliquée. Mais l'AMA a déclaré connaître les données manquantes dans la base de données.

Louis

Cheat champions

The WADA (World Anti-Doping Agency) could ban Russian athletes from more international competitions and added new restrictions on them. This decision could be taken after discovering that the Russian official anti-doping agency had deleted test results from their databases.
The report was released after four years of investigation and shows Russia did not comply with anti-doping rules. The conclusion is that they manipulated a database of test results of Russian athletes to provide false evidence of no cheating.

The sanctions would result in Russian athletes being banned not only from Tokyo Olympics games, but from a series of sports competitions. This would weigh in on Russian sports after the Olympic Games and Russia would be barred for four years from all international competitions in countries that have signed the WADA chart. The governing bodies who have ratified the WADA chart include FIFA, the organizer of the 2022 World Cup of football.

The Russian government would also be barred from sitting in at sporting events and for the country hosting for four years.

It is not yet known how many Russian athletes would be barred if the report is confirmed. But WADA said it is informed of the data missing from the database.

Louis

lundi 11 novembre 2019

Red Square Parade celebrates history


Thursday 7 November, a parade was held Moscow’s Red Square in memory of the parade of November 7, 1941.
More than four thousand Russian soldiers marched. They were officers and soldiers carrying the equipment and armament of the time including the famous T-34 tanks.
The parade was accompanied by an orchestra and patriotic songs.
On June 22, 1941, the Germans attacked the Soviets by surprise.
A non-aggression pact had been signed between Stalin and Hitler two years earlier. At the beginning of November 1941, the Germans were getting closer and closer to Moscow and Stalin sent nearly 30,000 soldiers to the front from Red Square, where the Nov. 7 parade celebrated the Bolshevik revolution in 1917.
The Soviets managed to fight back the Germans by winning the Battle of Stalingrad in 1942-1943. This battle helped the final victory of the USSR and its allies against Hitler's troops.
The November 7 Parade has become a ritual since the year 2000, when Putin came to power.





                   Défilé en mémoire de la « Parade légendaire » sur la Place Rouge


Ce jeudi 7 novembre un défilé a eu lieu sur la Place Rouge à Moscou en mémoire de celle du 7 novembre 1941. Plus de quatre mille soldats russes ont défilé. Il s’agissait d’élèves officiers et soldats portant l’équipement et l’armement de l’époque ainsi que les fameux chars T-34. Le défilé était accompagné par un orchestre et de chants patriotiques.
Le 22 juin 1941, les Allemands attaquaient les Soviétiques par surprise alors qu’un pacte de non-agression avait été signé entre Staline et Hitler deux ans plutôt.
Début novembre 1941 les Allemands se rapprochaient de plus en plus de Moscou. Staline décida alors d’envoyer près de 30.000 soldats au front depuis la Place Rouge, où se déroulait la parade du 7 novembre célébrant la révolution bolchevique en 1917.
Quelques mois plus tard, les Soviétiques réussirent à repousser les armées allemandes en remportant la bataille de Stalingrad (1942-1943). Cette bataille aida à la victoire définitive de l’URSS et de ses alliés surHitler.
Le défilé du 7 novembre est devenu un rituel depuis l’an 2000, année de l’arrivée de Poutine au pouvoir.

Axel


https://www.la-croix.com/Culture/place-Rouge-defile-memoire-parade-legendaire-1941-2019-11-07-1301059113

mercredi 6 novembre 2019

La Russie étend son hégémonie au Moyen-Orient

Mardi 22 octobre, la Russie et la Turquie ont signé un accord à Sotchi après six heures de négociations pour mettre en place un contrôle de la frontière turquo-syrienne, ce qui a mis fin à l'offensive turque contre les forces kurdes.
L'accord prévoit d’établir une zone tampon de 30 kilomètres autour de la frontière syrienne. La Russie elle, se porte garante de l'évacuation des Kurdes et du désarmement de leurs forces (considérés comme des terroristes par Erdogan ce qui avait provoqué l'offensive il y a trois semaines).

Une patrouille russo-turque est mise en place pour ''aider'' au retrait des forces kurdes. La Turquie affirme que les forces Kurdes ne sont plus un problème, mais que si elles venaient à résister, elle agirait en conséquence.

Les deux signataires de l'accord proposent de rapatrier les réfugiés syriens qui avaient fui les combats, mais les conditions restent floues.



Les Kurdes eux craignent, un nettoyage ethnique qu’opéreraient des milices syrienne alliées des turques et de ne plus pouvoir garder emprisonnés les djihadistes une fois leurs forces désarmées et évacuées.

Grâce à ce traité, le Kremlin continue d'accroître son influence au Moyen-Orient.

Louis

Russia steps up control of Middle East

On October 22, Russia and Turkey signed an agreement in Sotchi, Russia.

The agreement acknowledges Turkey’s control of Syrian borders but puts an end to the Turkey’s attack against Kurdish militias.

The agreement excludes any Kurdish military presence eighteen miles from the Syrian border. Russia will supervise Kurdish evacuation and disarmament process. Kurds are considered terrorists by Turkey. Combined forces will patrol the area.

Turkey says Kurdish military power is not a problem now, but that Turkey would do the necessary if they were to meet any resistance.

Russia and Turkey suggest Syrian refugees be repatriated on a voluntary basis.

Kurds are afraid of ethnic cleansing by Syrian militias connected to the Turks. Their fear is not being able to keep jihadists locked after they retreat.

With this agreement Putin expands his hegemony in the Middle East, an oil-rich strategic region.

Louis.

vendredi 1 novembre 2019

Legendary cosmonaut's last walk




Friday 11 October, the legendary Soviet cosmonaut Alexei Leonov died. He was the first human to have walked in space in 1954.
The Russian space agency Roscosmos announced Friday on his website that Alexei had died at 85 years.

Russian president, Vladimir Putin, sent his condolences to Leonov’s family, calling him a “true pioneer, a strong and heroic person.”
Alexei Leonov made space history when he exited his Voskhod 2 space capsule. Leonov was an icon both in his country as well as in the US for his feat.

Leonov’s 12-minute spacewalk preceded the first US spacewalk, by Ed White, by less than three months.


Dernière sortie pour une légende


Vendredi 11 octobre, Alexei Leonov, le premier homme à sortir dans l’espace est mort. Il avait 85 ans.

L’agence spatiale Roscosmos a annoncé cette nouvelle sur son site internet. Le président Vladimir Poutine a envoyé ses condoléances à la famille de Leonov qualifiant Alexei : « de vrai pionner, une personne forte et courageuse ».
Ce cosmonaute a marqué l’histoire en 1954 quand il est sorti de la capsule spatiale Voskhod 2 ce qui lui a fait de lui un héros pour les Etats-Unis et La Russie.
Sa sortie dans l’espace a duré 12 minutes mais elle a précédé de 3 mois la première sortie d’un astronaute américain dans l’espace.


samedi 5 octobre 2019

Journalist faces seven years in prison



On October 31 2018, a 17-year-old suicide bomber seriously injured three security agents in front of the premises of the FSB (Federal Security Service of the Russian Federation). This man declared himself "anarcho-communist" and accused the FSB of "making business and torturing people".

 Now a journalist by the name of Svetlana Prokopieva could be sentenced to up to seven years in prison for reading a column criticizing the Russian security services about the attack. She wondered about the motivations of the suicide bomber without approving his actions but criticizing the repression of the state. In fact, the 40-year-old journalist is accused of "justification of terrorism ".

Many Russian journalists are mobilizing to save her . This case is happening three months after they rescued another journalist Ivan Golounov accused  of drug trafficking. Contrary to him ,Mrs. Prokopieva proudly claims her act. She even says that the case against her only confirms her arguments. Svetlana Prokopieva read her column on November 7, 2018, and her troubles began two months later.  last January, she was searched, placed under judicial control and had her passport confiscated.

On Tuesday, October 1st, twenty press titles publish a letter written by Svetlana Prokopieva to  attract public attention:
"I did not justify terrorism. I tried to analyze the causes of a terrorist act and I would have been wrong! But nobody contradicted me. "

This investigation shows that the anti-terrorism law is being used more and more to silence critical journalists in Russia. This country ranks 149th out of 180 in the world press freedom ranking in 2019.

      Une Journaliste risque jusqu'à sept ans de prison 

Le 31 octobre 2018, un kamikaze de 17 ans à blessé grièvement  trois agents de la sécurité devant les locaux de la FSB (Service fédéral de Sécurité de la Fédération de Russie). Cet homme se déclarait « anarcho-communiste » et accusait le FSB de « fabriquer des affaires et de torturer les gens ».

La journaliste Svetlana Prokopieva pourrait être condamnée à sept ans de prison maximum pour avoir lu à la radio une chronique critiquant les services de sécurité russes à propos de cet attentat. Elle s’interrogeait sur les motivations du kamikaze sans  jamais approuver ses actes mais en critiquant tout de même la répression de l’état. La  journaliste de 40 ans est accusée d’ « apologie du terrorisme ».

De nombreux journalistes russes se mobilisent pour la sauver. Cette affaire se passe trois mois après avoirt iré d'affaire  un autre journaliste, Ivan Golounov, victime d’un coup monté et accusé de trafic de drogues. Contrairement à ce dernier, Mme Prokopieva assume totalement son acte.  Elle dit même que cette accusation  ne fait que confirmer ses thèses. Svetlana Prokopieva a lu sa rubrique le 7 novembre 2018 et ses ennuis ont commencés deux mois plus tard. En janvier dernier, son domicile a été  perquisitionné et elle a été placée sous contrôle judiciaire et son passeport a été confisqué 

Mardi premier octobre, une vingtaine de titres  de presse  ont publiés une lettre écrite par Svetlana Prokopieva pour attirer l’attention de l'opinion politique :
« Je n’ai pas justifié le terrorisme. J’ai essayé d’analyser les causes d’un acte terroriste et j’aimerais m’être trompée ! Mais personne ne m’a contredite. »

Cette enquête démontre que la loi anti terrorisme est utilisée de plus en plus pour faire taire les journalistes critiques en Russie. Ce pays occupe la 149ème place sur 180 dans  le classement mondial de la liberté de presse en 2019.

Axel




mercredi 2 octobre 2019

A Moscou, la jeunesse est dans la rue

Ce dimanche, une manifestation regroupant 20.000 personnes s’est tenue à Moscou, elle était organisée par l'opposition au gouvernement de Vladimir Poutine pour protester contre la répression policière et l’exclusion des candidats d'opposition aux élections municipales du 8 septembre.
Dans les rues les manifestants scandaient « liberté pour les prisonniers politiques ! » Ils voulaient faire pression sur l’exécutif afin que des opposants tels Alexeï Navalny soient libérés. Ce rassemblement de grande ampleur faite suite aux 2700 arrestations qui avaient eu lieu au cours de l'été après l’interdiction aux opposants de se présenter aux élections locales. Cependant ce chiffre peut être en partie expliqué par le fait que généralement les manifestations n’étaient pas autorisées, ce qui avait donné lieu aussi à de nombreuses violences policières.

Les manifestants interpellés avaient été libérés rapidement mais une quinzaine avait été retenus par les forces de l'ordre. Six d'entre eux avaient été d’ailleurs condamnés à de lourdes peines de prison (entre 3 et 4 ans) pour " violences " et " violation des règles de manifestations".

La Russie n'avait pas connu de telles manifestations depuis 2012. À ce moment, c'était la classe moyenne quadragénaire qui défilait. Maintenant c'est la jeunesse qui dénonce les droits bafoués depuis trop longtemps par Vladimir Poutine et sa politique autoritaire (en moyenne, les manifestants cet été et ce dimanche étaient âgés de moins de trente ans). C’est une jeunesse citadine qui crie son mécontentement devant la baisse de 13 % du pouvoir d’achat et les scrutins truqués…, une jeunesse qui contrairement à 2012, ne se reconnaît plus dans le « self made man» qu’incarne Vladimir Poutine.

Louis

Moscow’s young Protester



Last Sunday, a demonstration rallied 20,000 people in Moscow. It was organized by the opposition to Vladimir Putin’s government to protest the repressive measures and the exclusion of the opposition candidate for the September 8 municipal elections.


In the street, the demonstrators chanted “release political prisoners !”. They want to put the executive under pressure in order they release opponents like Alexeï Navalny.


This rally was a protest against the arrest of 2700 demonstrators during the summer.


However, this figure can be explained by the fact the previous demonstrations were not authorized, which prompted acts of violence from the police. The demonstrators arrested by the police were quickly released but a dozen were kept by the police. Six were convicted to 3 and 4 years of jail for “violence” and “breach of demonstration rules”.


Russia had never known demonstrations like these since 2012 with middle class demonstrators in their forties. Now, it’s the young people who ask for theirs rights they think have been repressed for too long by Vladimir Putin’s authoritarian policy. The average protester was a youth city dweller chafing from the 13% decline of purchasing power and rigged polls who no longer believes in the “self-made man’’ embodied by Vladimir Putin.



Louis

jeudi 21 mars 2019

Black snow in Siberia

Recently, in a few cities of South of Siberia in Russia, a strange event happened. Based on residents’ testimonies since the 15th of February, snow has become black. 

Inhabitants targeted coal factories not far away from the cities. They suspected that the coal particles and the snow blended together, while the particles should be filtered.

So, they blamed the different directors of the factories claiming their equipment was failing and that they had to check the quality of their filters for the security of the residents around the factories.

In response to that, the director of the closest factory said that all of that was false, and that the factory had never been responsible of the black snow.

For security purposes, an investigation is to be launched and thousands of inhabitants were evacuated.



Neige noire en Sibérie

Depuis le 15 février, dans trois villes du sud de la Sibérie la neige qui recouvrait les immeubles et les voitures est devenue noire.

Les habitants des villes tiennent pour responsables les usines à charbon non loin de là. Ils pensent que les particules noires de charbon qui devrait normalement être filtrées, se mélangeraient à la neige.

Les habitants s’en sont donc pris aux directeurs des usines locales, leur reprochant de mal vérifier leurs filtres ou la défaillance de leur matériel.

Mais le directeur de l’usine la plus proche a contesté ce fait, prétendant que le phénomène que la ville subit, n’était en aucune façon la faute de son usine.

Les autorités s’inquiétant de la santé de la population, ont déplacé des milliers de personnes aux frais des entreprises locales et entamé une enquête.

Zoé

sources;

http://www.fredzone.org/en-russie-une-neige-noire-et-toxique-a-recouvert-trois-villes-de-siberie-998

jeudi 14 février 2019

Jehovah’s witnesses targeted by Russian justice

On Monday, after ten months of trial, the court of Orel, a small town located 360 kilometers southwest of Moscow, delivered its verdict: six years of prison for "activities in an extremist organization".
Dennis Christensen, a 46-year-old Danish national became on Wednesday February 6 the the most heavily Jehovah's Witness convicted to date since the decision in 2017 by the Supreme Court of Russia to ban the movement throughout the country.

Christensen's sentencing is part of a campaign against Jehovah's Witnesses and other minority religions. Religious freedom is threatened advocates say, as Russian Orthodox Christians seek to maintain their cultural dominance.

More than a hundred Jehovah's Witnesses are now being prosecuted by Russian justice. "The campaign has intensified sharply since April 2018 when raids and arrests began in various parts of the country. Many believers are accused in criminal cases and detained" says the Russian organization for the defense of human rights Memorial. This same organization has compiled a non-exhaustive list of 81 women and men convicted in this case or pending judgment. Some of them face up to ten years of imprisonment, according to the Russian penal code. Memorial considers them political prisoners "persecuted for their faith".

The judgment of the Supreme Court has no legal basis and is contrary to Article 28 of the Constitution of the Russian Federation which guarantees the right to “freedom of conscience and religion ". The question is particularly sensitive after the religious persecutions of Soviet times. The Russian Orthodox Church for its part considers Jehovah's Witnesses as a cult that must be banned.

LUNA

sources:

https://edition.cnn.com/2019/02/07/europe/russia-dennis-christensen/index.html ;

https://edition.cnn.com/2019/02/07/europe/russia-dennis-christensen/index.html

Les témoins de Jéhovah en ligne de mire

Lundi, après dix mois de procès, le tribunal d'Orel, une petite ville située à 360 km au sud-ouest de Moscou, a rendu son verdict : six ans de prison pour "activités dans une organisation extrémiste". Dennis Christensen, un ressortissant danois de 46 ans, est ainsi devenu, le mercredi 6 février, le témoin de Jéhovah le plus lourdement condamné à ce jour depuis la décision de la Cour suprême de Russie, en 2017, d'interdire ce mouvement dans tout le pays.

La condamnation de Christensen fait partie d'une campagne contre les témoins de Jéhovah et les autres religions minoritaires, selon les défenseurs de la liberté de religion, alors que les chrétiens orthodoxes russes cherchent à maintenir leur domination culturelle.

Plus de cent témoins de Jéhovah sont actuellement poursuivis par la justice russe. "La campagne s'est fortement intensifiée en avril 2018 lorsque des perquisitions et des arrestations ont commencé dans diverses régions du pays. De nombreux fidèles sont inculpés dans des affaires pénales et ont été arrêtés", a déclaré l'organisation russe Mémorial qui milite pour la défense des droits de l'homme. Elle a dressé une liste non exhaustive de 81 femmes et hommes condamnés dans cette affaire ou en attente de jugement. Selon le code pénal russe, certains risquent jusqu'à dix ans d'emprisonnement.

Memorial les considère comme des prisonniers politiques "persécutés pour leur foi" et affirme que l'arrêt de la Cour suprême n'a aucune base légale et est contraire à l'article 28 de la Constitution de la Fédération de Russie qui garantit le droit à la liberté de conscience et de religion ". La question est particulièrement délicate après les persécutions religieuses de l'époque soviétique. De son côté, l'Eglise orthodoxe considère les Témoins de Jéhovah comme une secte à interdire.

LUNA sources : https://www.jw.org/en/news/legal/by-region/russia/jehovahs-witnesses-in-prison/ ; https://edition.cnn.com/2019/02/07/europe/russia-dennis-christensen/index.html

mardi 5 février 2019

Polar bear invasion

Today, climate change is illustrated by melting ice, tsunamis, floods, heat waves, etc… 

All those problems have consequences on wildlife. On February 9, the local authorities of Novaya Zembyla Islands a remote Russian region declared a state of emergency over the intrusion of dozens of polar bears in inhabitations. Authorities declared that polar bears were attacking people and had penetrated into private and public buildings. 

In Russia, polar bears are endangered so hunting them is considered poaching. However, bears need to eat and they can’t find food in the sea anymore so they have to hunt somewhere else that is to say in human towns. But apparently bears had lost their fear of police patrols and signals used to warn them off, meaning that more drastic measures were needed.

Locals started thinking that if fear was not working there remained only one effective way which is slaughter. The archipelago's main settlement, Belushya Guba, has reported a total of 52 bears with between six and ten constantly on its territory. The inhabitants are afraid of letting their children go to school and the bears prevent them from living a normal life. An inhabitant declared that there had never been that many bears in the Islands since 1983. From now on, bears and humans will have to fight if humans continue to destroy their habitat.

Anna


Invasion d’ours polaires

Aujourd’hui, le climat est un problème réel qui est illustré par la fonte des glaces, des tsunamis, des inondations, des canicules, etc. Tous ces problèmes ont des conséquences sur la faune. Le 9 février, les autorités des îles de Nouvelle Zemble, une région éloignée de la Russie, ont déclaré l'état d’urgence en raison de la présence de dizaines d'ours polaires. 

Les autorités ont déclaré que des ours polaires attaquaient des personnes et avaient pénétré dans des habitations, des bâtiments publics. En Russie, les ours polaires sont considérés comme des espèces en voie de disparition et par conséquent les chasser revient a du braconnage. Cependant, les ours ont besoin de manger et ne trouvent plus leur nourriture en mer. Ils doivent donc chasser ailleurs, à savoir dans les villes et apparemment, ils n’ont plus peur des patrouilles de police et des alarmes, ce qui signifie que des mesures plus radicales devront être prises comme l’abattage. 

La principale agglomération de l'archipel, Belushya Guba, a signalé un total de 52 ours, dont six à dix en permanence sur son territoire. Les habitants ont peur de laisser leurs enfantsaller à l'école et ces ours les empêchent de vivre une vie normale. Un habitant a déclaré qu'il n'y en avait jamais eu autant dans les îles depuis 1983. Désormais, les ours et les humains devront s’affronter si les humains continuent à détruire le monde comme ils le font aujourd'hui..

Anna

source: https://www.bbc.com/news/world-europe-47185112

image: https://www.thejournal.ie/photos-of-emaciated-polar-bear-2331154-Sep2015/

mardi 29 janvier 2019

Saint Petersburg Commemoration contested

78 years ago, on September 8, 1941, the Nazis began the siege of Leningrad where during close to 900 days they lashed out at the inhabitants. They began to cut them off from the rest of the Russia on the ground and deluged them with 133,000 bombs targeting the supply sheds, food factories, gasoline reserves.

They set up the "hunger program", which proved a tragedy since the inhabitants ended up to feed only on 125 grams of bread per person and per day. Some people even became cannibals.

Finally, on January 27, 1944, the Russians rallied their last forces after the loss of almost one million people and counter attacked victoriously. Last Sunday it was the 75th anniversary of the end of the siege of Leningrad.

To celebrate, many Russians came to Saint Petersburg in the cold temperature, to attend the military parade and the firework of the city in honour of the deceased.

President Putin went to Piskarevskoïe Cemetery where a minute of silence was held to the beating of a metronome recalling the air raids. In this way, they have.

But not everybody was willing to commemorate the victory and many signed a petition to cancel the ceremony.



Commémoration controversée à Saint-Pétersbourg


Il y a tout juste 78 ans, le 8 septembre 1941, les Nazis mirent le siège devant Leningrad où les habitants se retrouvèrent piégés pendant 872 jours.

D’abord coupés du reste de la Russie par voie terrestre, ils furent ensuite bombardés sans relâche et environ 133.000 bombes et obus visèrent d’abord les stocks et usines alimentaires et les réserves d'essences.

Ce "Plan Faim" fut mis en place afin de pousser la ville à la famine et les habitants se retrouvèrent contraints de vivre sur des rations de 125 grammes de pain par personne et par jour. Certains devinrent même cannibales.

Mais, le 27 janvier 1944, les Russes rallièrent les forces qu'ils leur restaient, après la perte de presque un million de personnes et contre-attaquèrent.

Dimanche dernier pour le 75ème anniversaire de la fin du siège de Leningrad, de nombreux Russes se sont rassemblés dans un temps glacial, afin d'assister à la parade militaire et au feu d'artifices de la ville de Saint Pétersbourg, en honneur aux victimes de la guerre.

Vladimir Poutine s’est rendu au cimetière de Piskarevskoïe, où une minute de silence a été observée, rythmée par les battements d'un métronome indiquant l'imminence des bombardements aériens.

Mais tout le monde ne partageait pas la même envie d'assister à cette commémoration. En effet, plus de 5000 habitants ont signé une pétition demandant l'annulation de cette commémoration.

ZOÉ


Sources;

- https://fr.euronews.com/2019/01/27/siege-de-leningrad-le-russie-se-souvient

- https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_L%C3%A9ningrad

- https://www.la-croix.com/Monde/Russie-celebre-75-ans-fin-siege-Leningrad-2019-01-27-1300998303

vendredi 25 janvier 2019

Belarusian escort-girl threatening to reveal information about Donald Trump


Belarusian escort girl Nastia Rybka - real name Anastasia Vachoukevich - who promised revelations about Russia's role in the 2016 US election and was arrested last Thursday in Moscow.

She became famous after posting videos allegedly showing tycoon Oleg Deripaska and a Russian deputy prime minister on a yacht. She was arrested in February 2018 in the Thai resort town of Pattaya with nine other foreigners who organized "sexual training".

During his stay in Thai prison, she said she had information about Russian meddling in the 2016 US elections. Later she was expelled from Thailand on a flight to Moscow last Thursday, where she was immediately arrested for a procuring investigation.

The young woman was presented last Saturday in court but the hearing was postponed at the request of the prosecutor, who asked 72 hours to study the case while investigators requested that it be held for 30 days in detention.

After her release, on Tuesday 22 of January, her lawyer Dmitry Zatsarinsky posted a video on Instagram showing Vashukevich and him in a car. "Nastya Rybka is free. We're going home," he said, while they flashed a peace sign and laughed.

During the hearing, Nastya Rybka claimed that she didn’t want to "compromise Oleg Deripaska" in any way. "I have had enough," she added, according to Interfax. The young woman's lawyer, Dmitri Zatsarinski, told reporters that the young woman "didn’t commit any crime" and that she "has nothing to do" with Oleg Deripaska, "even less with Donald Trump".

LUNA



Sources: https://www.dailymail.co.uk/news/article-6619519/Belarus-escort-claimed-Trump-secrets-freed-Russian-jail.html ; https://www.20minutes.fr/monde/russie/2431115-20190119-escort-girl-bielorusse-menacant-devoiler-informations-election-donald-trump-reste-prison








Une escort girl biélorusse menace Donald Trump

L'escorte biélorusse Nastia Rybka,de son vrai nom Anastasia Vachoukevich, qui avait promis des révélations sur le rôle de la Russie dans l'élection américaine de 2016 a été arrêtée jeudi dernier à Moscou.



Elle est devenue célèbre après avoir publié des vidéos montrant le magnat Oleg Deripaska et un vice-premier ministre russe sur un yacht.

Elle a été arrêtée en février 2018 dans la station balnéaire thaïlandaise de Pattaya avec neuf autres étrangers pour avoir organisé une "formation sexuelle".

Lors de son séjour dans une prison thaïlandaise, elle a déclaré avoir des informations sur l'implication de la Russie lors des élections américaines de 2016.

Elle a ensuite été expulsée de Thaïlande par un vol à destination de Moscou jeudi dernier, où elle a été immédiatement arrêtée dans le cadre d’une enquête.

La jeune femme a été présentée samedi au tribunal mais l'audience a été reportée à la demande du procureur, qui a demandé 72 heures pour étudier l'affaire, alors que les enquêteurs avaient demandé qu'elle soit maintenue en détention pendant 30 jours.

Après sa libération, mardi 22 janvier, son avocat, Dmitry Zatsarinsky, a posté sur Instagram une vidéo le montrant Vachukevich en voiture. "Nastya Rybka est libre. Nous rentrons à la maison", dit-il, alors qu’ils s’affichaient faisant un signe de paix et riant.

Au cours de l'audience, Nastya Rybka a assuré qu'elle ne voulait en aucun cas "compromettre Oleg Deripaska". « Ça suffit comme ça », a-t-elle ajouté, selon Interfax. L'avocat de la jeune femme, Dmitri Zatsarinski, a déclaré aux journalistes que cette jeune femme "n'avait commis aucun crime" et qu'elle "n'avait rien à voir" avec Oleg Deripaska, "encore moins avec Donald Trump".



LUNA

mardi 15 janvier 2019

New ‘gay purge’ underway in Chechnya

Monday an activist group of LGBT rights accused Chechen authorities of a new wave of persecutions against the LGBT community since the end of December 2018. They claim that local police killed at least two people and arrested around forty others. The Chechen authorities immediately denied the facts which come two years after the international outcry when gay men said they had been tortured by law-enforcement agencies.


Russian authorities certified they would open an inquiry after this report. But the LGBT network confirm that there was no serious investigation under way.


Igor Kochetkov of the LGBT Network said police were confiscating documents to ensure those arrested could not flee the republic. The victims said they had to sign a blank form because the police “threatened them with fabricated criminal cases against them or their relatives”.


Ramzan Kadyrov, the prime minister of Chechnya, totally rejected the claims of the activists. "This is a complete lie... there were no detentions on the grounds of sexual orientation in the Chechen Republic over the period mentioned, » said Alvi Karimov to the Interfax news.


Homosexuality is legal in Russia but discrimination is rife.

Anna



Nouvelle purge anti-gay en Tchétchénie

Lundi, des militants des droits des LGBT ont accusé les autorités tchétchènes d'une nouvelle vague de persécutions contre la communauté LGBT depuis fin décembre dernier. Ils affirment qu'elles ont tué au moins deux personnes et arrêté une quarantaine d’autres.


Les autorités tchétchènes ont immédiatement démenti les faits qui se seraient produits deux ans après l’indignation internationale provoquée après que des homosexuels ont affirmé avoir été torturés par les forces de l'ordre.


Les autorités russes certifient avoir ouvert une enquête après ce rapport. Mais le réseau LGBT prétend qu’aucune enquête sérieuse n’a eu lieu. Igor Kochetkov, du réseau LGBT, a déclaré que la police avait confisqué les papiers d’identité des personnes arrêtées afin de les empêcher de quitter le pays.


Les victimes ont déclaré qu'elles avaient dû signer un formulaire vierge parce que la police les avait "menacées de poursuites criminelles inventées contre eux ou leurs proches".


Ramzan Kadyrov, le Premier ministre de Tchétchénie, rejette complètement les accusations des activistes. "C'est un mensonge complet ... il n'y a pas eu de détentions pour des raisons d'orientation sexuelle en République tchétchène au cours de la période mentionnée", a déclaré Alvi Karimov à Interfax.


L'homosexualité est légale en Russie mais la discrimination est monnaie courante.

Anna


Source: https://ewn.co.za/2019/01/14/new-gay-purge-underway-in-russia-s-chechnya-activists




dimanche 13 janvier 2019

Explosions rock Russia

Last Monday, a gas explosion in Magnitogorsk in Russia caused thirty-nine deaths with only one body not yet identified.


Emergency services stopped rescue operations Thursday, and after four days according to them, there are not any other people under the rubble.


In this dwelling, there were about eleven hundred people, whose thirty-five apartments have been destroyed. A baby has been found and hospitalized urgently.


For some Russians, it’s not an accident but an act of terrorism.


One day after, an explosion in a minibus in Magnitogorsk too. But local authorities said that they had not found any evidence of a terrorist attack or any link between the two accidents.






Une double explosion inquiète les Russes


Lundi dernier, une explosion dans la ville de Magnitogorsk a fait 39 morts.


D’après les conclusions des autorités et des services d’urgence, elle a été causée par une fuite de gaz. Néanmoins, certaines personnes continuent de penser qu’il s’agissait d’un acte terroriste.


Un corps encore n’aurait pas été identifié. Les services de secours ont arrêté leurs recherches quatre jours plus tard. Un enfant en bas âge aurait été retrouvé vivant et hospitalisé d’urgence.


Près de mille cent personnes vivaient dans cet immeuble dont trente-cinq appartements auraient été détruits.


Le lendemain soir, une nouvelle explosion a détruit un minibus de cette même ville.


Afin de rassurer la population, une enquête a été ouverte mais aucune preuve ou aucun lien n’a été trouvé pour accréditer cette hypothèse.


Zoé


Sources :

https://www.20minutes.fr/monde/russie/2407399-20190103-russie-bilan-explosion-immeuble-grimpe-39-morts-autorites-annoncent-fin-recherches





Hypersonic missile radar will protect Russia

Recently, lieutenant general Andreï Demine told Sputnik that a hypersonic missile radar was going to be set up near the city of Kovylkino in the Republic of Mordovia. There are already Voronezh radars in the regions of Irkutsk, Kaliningrad and Krasnodar. They are able to detect missiles (or any other craft) launched at 6 kilometers per second; up to 4,000 kilometers away and 8,000 kilometers from the radar.


This trans-horizon Container-type radar should be started early in 2019 to detect all types of take-offs or attempted take-offs of cruise missiles, aircraft and soon hypersonic cruise missiles coming from the enemy. This radar would enjoy airborne autonomy over two thousand kilometers, which would allow to see above the frontiers of the Federation of Russia.



UN RADAR DE MISSILES HYPERSONIQUES POUR LA RUSSIE


Le lieutenant général Andreï Demine a récemment déclaré à la chaîne d’information Sputnik, qu'un radar de missiles hypersoniques allait être mis en place à proximité de Kovylkino en République de Mordovie. Il se trouve que des radars Voronej sont déjà présents dans les régions d'Irkoutsk, de Kaliningrad et de Krasnodar. Ces radars peuvent détecter des missiles, ou n'importe quel autre engin, lancés à 6 kilomètres par seconde et ce, jusqu'à 4000 kilomètres de distance et 8000 kilomètres d'altitude à partir du radar.


Le nouveau radar trans-horizon de type ''Container'' devrait être mis en service au début de l'année 2019 afin de détecter tout type de décollage ou de tentative de décollage de missiles de croisière, d'avions et surtout de missiles de croisière hypersoniques venant de l'ennemi. Ce radar aurait une aéroportée de plus de deux mille kilomètres, ce qui permettrait de voir au-dessus des frontières de la Fédération de Russie.


Zoé


source; * https://fr.sputniknews.com/defense/201812011039138887-russie-radar-missilies-hypersoniques-europe/


* http://www.alterinfo.net/Les-missiles-hypersoniques-US-ne-prendront-pas-les-Russes-par-surprise_a130792.html


* https://www.google.fr/search?rlz=1C1CHBF_frFR777FR777&biw=1396&bih=686&tbm=isch&sa=1&ei=ZYAFXKruK6KKlwSdpIJo&q=container+%2829b6%29+radar&oq=radar+container+&gs_l=img.3.1.0i8i30l2.170055.173526..182749...4.0..0.76.339.5......0....1..gws-wiz-img.6NOvg0pphzA#imgrc=RDom2_pWrrA3BM: [2017 - 07 - 09]1745Z Container (29B6) radar (Russian: 29Б6 «Контейнер») 10450kHz OTH Radar by rickf | Free Listening on SoundCloud





* https://www.google.fr/search?rlz=1C1CHBF_frFR777FR777&biw=1396&bih=686&tbm=isch&sa=1&ei=RYEFXKjjJ4bGaY3egcgO&q=voronezh+radr&oq=voronezh+radr&gs_l=img.3...83851559.83861450..83861925...0.0..0.85.1622.23......0....1..gws-wiz-img.....0..0j0i67j0i30j0i8i30j0i5i30j0i19j0i8i30i19.Q02QG9fjoKM#imgrc=EASsgo5aFrklZM: Voronezh radar

Toward a new Conquest of the Moon?

It seems that Russia is bent on taking revenge on the United States.


Indeed, since the 1975 Apollo mission led by the United States, some countries have floated the idea of a permanent inhabited base on the Moon.


Unfortunately, none has materialized as they were deemed too costly. So, Russia may have found a way round with LUNA 27.


Recently, Dmitry Rogozin, the director of Russia’s space agency Roscosmos, explained that they had come up with an ingenious project for 2022, and at first glance, there is a possibility for this project to come true. It involves sending to the South Pole of the Moon, not humans, but automated systems and avatars controlled from Earth to perform missions.



Vers une nouvelle conquête de la lune ?

Il semblerait que la Russie veuille prendre sa revanche sur les Etats-Unis. En effet, depuis le projet Apollo, mené par les Etats-Unis en 1975, quelques pays auraient proposé des projets de base permanente habitée sur la Lune.


Mais, ces projets coûteraient extrêmement cher, alors la Russie a mis en route un nouveau programme : LUNA 27.


Le directeur de l'agence spatiale russe Roscosmos, Dmitry Rogozin, a récemment dévoilé ce projet ingénieux : implanter une base habitée sur le pôle sud de la Lune. Il consisterait non pas à envoyer des êtres humains, mais des systèmes robotisés et des avatars contrôlés à distance de la Terre afin d'effectuer des missions.


Il y a de fortes possibilités que ce programme se concrétise d'ici 2022.


Zoé



Sources : - https://www.clubic.com/mag/sciences/conquete-spatiale/actualite-847212-russie-projet-base-lunaire-habitee-avatars-pilotes-terre.html





- https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Luna_27