dimanche 30 octobre 2016

Bulgaria disapproves of Putin’s foreign policy

On Tuesday 25 October, Bulgaria’s Foreign Minister told BBC HARDtalk’s Stephen Sackur that he stands behind the president’s recent comments when he described Russia as a “nationalist, aggressive state”.

Mr. Mitov added “We have always tried to build an equal partnership with Russia based on mutual respect, unfortunately in recent years, not only towards us but also towards the whole European Union, this is not happening”.

He also explained that he was completely aware that Bulgaria was almost 100% dependent on Russian gas, but it was looking to diversify by investing in pipelines with Greece and Romania as well as investing in liquefied natural gas terminal.

In a previous interview on September 7, Mr.Mitov clearly said that Russia’s steps with regard to the Ukraine crisis “can’t be left without consequences and the only peaceful instrument is sanctions”




La Bulgarie désapprouve la politique étrangère de la Russie


Le jeudi 25 octobre, le ministre des affaires étrangères de Bulgarie a expliqué au présentateur de l’émission BBC HARDtalk qu’il soutiendrait la déclaration de son président qui a qualifié la Russie « d’état nationaliste et agressif ».

M. Mitov à ajouter « Nous avons essayé de construire un partenariat d’égal à égal avec la Russie basé sur le respect mutuel, malheureusement ces dernières années, non seulement envers nous mais envers la totalité de l’Union Européenne, cela n’a pas été le cas. »

Il a aussi expliqué qu’il était parfaitement conscient que la Bulgarie était quasiment à 100% dépendante du gaz russe, mais qu’elle essayait de diversifier en investissant dans des oléoducs avec la Grèce et la Romanie tout en prévoyant la construction d’un terminal de gaz liquide.

Dans une précédente interview le 7 septembre, M. Mitov a clairement indiqué que les actions de la Russie dans la crise ukrainienne « ne peuvent être laissées sans conséquences » et que les « seuls instruments pacifiques sont les sanctions. »

Yanis


Sources :

http://www.bbc.com/news/world-europe-37761194

http://www.bbc.co.uk/programmes/n3ct0c5m

http://www.novinite.com/articles/176146/Bulgaria+Wouldn't+Back+Waiver+of+EU+Sanctions+on+Russia

mercredi 19 octobre 2016

Russian nuclear missiles within range of Berlin

Russia has moved nuclear capable Iksander-M missiles into Kaliningrad, a coastal enclave bordering Poland and Lithuania.

A Russian defence ministry spokesman said: “These missile units have been deployed more than once (in the Kaliningrad region... ) and will be deployed as part of military training of the Russian armed forces”.

The Iksander missiles have a range of 700Km (450 miles), meaning they could hit Berlin if launched from Kaliningrad.

The tensions between Russia and NATO have intensified recently and this move is part of a larger Russian attempt to dominate the Baltic Sea.

Indeed, Finland, Sweden, Norway, Estonia and Latvia reported recent air-space violations by Russian Air force.

Russia is continually testing the Western powers reactions like with the recent annexation of Crimea and its support to Bashar al-Assad.

“Seek concessions from the West” is the goal of this deployment, from what Linas Linkevicius, foreign minister of Lithuania, said. Antoi Macierewicz, Polish Defence Minister, found Russia’s activities “very alarming”.

In response to Russians displays of power, The Eastern flank will be reinforced by NATO with four battalions in Poland, Lithuania, Latvia and Estonia next year.



Berlin à portée des missiles nucléaires russes

La Russie a déployé des missiles à capacité nucléaire Iksander-M à Kaliningrad, une enclave côtière entre la Pologne et la Lituanie.

Selon un porte-parole du ministère de la Défense russe: « Ces missiles ont été déployés plus d’une fois (dans la région de Kaliningrad) … et seront déployés pendant les exercices militaires des forces armées russes. »

Les missiles Iksander ont une portée de 700Km (450 miles), ce qui signifie qu’ils peuvent atteindre Berlin s’ils sont tirés depuis Kaliningrad.

Ces derniers temps, les tensions entre la Russie et l’OTAN se sont intensifiés et cette action fait partie de la tentative de domination russe sur la Mer Baltique.

En effet, la Finlande, la Suède, la Norvège, l’Estonie et la Lettonie ont indiqué des violations récentes de leur espace aérien par L’Armée de l’air russe.

La Russie évalue de manière permanente les réactions des Occidentaux comme avec l’annexion de la Crimée ou son soutien à Bachar al-Assad par exemple.

« Obtenir des concessions de la part des Occidentaux » est le but de ce déploiement, d’après Linas Linkevicius, ministre des affaires étrangères lituanien. Antoi Macierewicz, ministre de la Défense polonais, a qualifié les activités russes de « très alarmantes ».

En réponse aux démonstrations de force russes, l’OTAN renforcera le front européen avec quatre bataillons en Pologne, Lituanie, Lettonie et Estonie l’année prochaine.


Sources: BBC http://www.bbc.com/news/world-europe-37597075?intlink_from_url=http://www.bbc.com/news/topics/39267b85-1784-4f4b-80ed-f8cb4a35f337/russia&link_location=live-reporting-story

Reuters : http://www.reuters.com/article/us-russia-usa-missiles-confirm-idUSKCN1280IV

abcNEWS : http://abcnews.go.com/International/wireStory/poland-concerned-russian-missiles-kaliningrad-42666802

dimanche 16 octobre 2016

Cold War is back

Friday 7 October, Russia was officially shamed and blamed by the Obama Administration for interfering with the US elections by way of cyber-attacks one month before the new president is inaugurated.

Russia had already been suspected since July of seeking to influence the vote in favor of the Republican candidate Donald Trump.

This accusation that smacked of the Cold War marked a turning point in Russia and United States relations.

These attacks compromised thousands of citizens’ mails and American organizations including Hilary Clinton’s party.

The White House added in its announcement that only Russian senior officials could have authorized those attacks. The Kremlin called this claim unjustified.

This is a new spectacular development in the escalating tensions between the two countries on a number of issues, Syria topping the list.


La Guerre froide est de retour


Vendredi 7 octobre, la Russie a officiellement été accusée par l’administration Obama d’avoir tenté d’interférer dans les élections américaines par des attaques informatiques, un mois seulement avant l’investiture du nouveau président.

La Russie était déjà soupçonnée depuis juillet de tenter d’influencer le vote en faveur du républicain Donald Trump.

Cette accusation qui a un parfum de Guerre froide représente un tournant dans les relations américano-russes.

Ces attaques ont touché des milliers de mails de citoyens et d’institutions américaines, y compris le parti démocrate d’Hilary Clinton.

La Maison Blanche a ajouté dans un communiqué que seul des hauts responsables russes auraient pu autoriser ces attaques, le Kremlin a qualifié cette incrimination d’injustifiée.

C’est un nouveau développement spectaculaire dans l’escalade des tensions entre les deux pays sur de nombreux dossiers, en particulier la Syrie.