mercredi 27 mai 2009

RUSSIA
TEAM !!! ;P
Sunday 17 May
The gap widens between Russia and Nato /Russia-Nato tension gets a turn to the worse
NATO began its military exercises in Georgia Wednesday 6 May. Some 15 countries are taking part in a series of military exercises which are going to take place around Tbilisi, the capital, within the framework of “Partnership for Peace” of which Georgia is member. Partnership for Peace is a NATO program aimed at creating trust between NATO and other states in Europe and the former Soviet Union.
Georgian Defense Ministry spokesperson David Dzhokhadze said that battlefield maneuvers would begin from May 11. Following this decision and in spite of many encouragements from the North Atlantic alliance, Russia refused to take part in the war games. According to the Russian government, holding military operations in a country that has just lost a war is a “gross provocation” and warned of a risk of destabilization in the region. On May 5th, Russian ambassador with the Atlantic Alliance, Dmitri Rogozine, announced that Russia would not participate to the ministerial meeting of the Russian-NATO council that was to be held on May 18-19th. The NATO exercises in Georgia, as well as the eviction of two employees of the Russian mission with the Alliance involved in an “affair of espionage” bound to an Estonian civil servant were used as a pretext to this decision from Moscow.
My point of view:
Without apparent connection, the two cases show that in spite of the détente between Barack Obama and Dmitri Medvedev, relations between NATO and Russia remain fragile. The Georgian file is potentially the most explosive, each side putting the blame on the other.
Seçil
www.cbc.ca/world/2009/05/06/nato-russia-georgia.html

Dimanche 17 Mai
Rien ne s’arrange entre la Russie et L’OTAN
Mercredi 6 mai, l’OTAN a commencé ses exercices militaires en Géorgie. Une quinzaine de pays prendront part à une série d’opérations militaires dans les environs de la capitale, Tbilissi, dans le cadre de « Partenariat pour la Paix » dont la Géorgie est membre. Partenariat pour la Paix est un programme de L'OTAN visant à créer la confiance entre l'OTAN et d'autres états en Europe et l'ancienne Union soviétique.
David Dzhokhadze, le porte-parole du Ministère de la Défense Nationale géorgien, a affirmé que les manœuvres de champ de bataille commenceraient à partir du 11 mai. Suite à cette décision et malgré de nombreux encouragements de l’Alliance, la Russie a refusé se prendre part elle aussi aux opérations militaires. Elle considère qu’effectuer des opérations militaires dans un pays qui vient tout juste de perdre une guerre est une « provocation grossière » et a prévenu qu’il y avait un risque de déstabilisation dans la région. Le 5 mai, l’ambassadeur russe auprès de l’Alliance Dmitri Rogozine a annoncé que la Russie ne participerait pas à la réunion ministérielle du conseil Russie-OTAN qui devait avoir lieu les 18 et 19 mai. Les exercices militaires de L’OTAN en Géorgie aussi bien que le renvoi de deux employés de la mission russe avec l'Alliance dans la structure "d'une affaire d'espionnage" attaché à un fonctionnaire estonien avaient servi de prétexte à cette décision de Moscou.
Mon point de vue :
Les deux dossiers sont entrés en collision vendredi. Sans pour autant être liés, ils montrent, en dépit de la détente apparente entre Barack Obama et Dmitri Medvedev, la fragilité des relations entre l’OTAN et la Russie. Le dossier de la Géorgie serait potentiellement le plus explosif, chaque parti se rejetant mutuellement les responsabilités.
Seçil
www.cbc.ca/world/2009/05/06/nato-russia-georgia.html

lundi 4 mai 2009

Saturday 28 March
Russia releases Chechnya from security restrictions
Since the fall of the USSR, Russia had launched a second war in Chechnya against terrorism to throw out Islamic rebels, separatists and militants. President Putin had compared Chechen separatists to the Al Qaïda terrorists after September 11, 2001. Russia had thus decided to establish security restrictions in order to curb terrorism by installing road blocks, carrying out research against the Islamic fighters and imposing curfews. Chechnya thus has been host to thousands of Russian federal troops.
During this war the country has suffered heavy losses with destruction of buildings, hospitals, and especially in the Chechen capital, Grozny. This period accelerated unemployment in the country and increased the number of refugees.
Today Chechen president Ramzan Kadyrov states that “Chechnya is one of the quietest regions of Russia”.
Friday March 27 the Russian and Chechen presidents discussed of the way Chechnya will be rebuilt and the economy restarted. Dmitry Medvev declared that “The situation in Chechnya has normalised to a large degree” and that “We must create new possibilities of investment and employment”.
The Russian president has removed security measures even if he assures that the fight against terrorism will not be slowed down in the areas where the violence is continuing, that is to say in the republics of Ingushetia and Dagestan.
Diana
http://www.themoscowtimes.com/article/1010/42/375580.htm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7968847.stm

My point of view: For a long time Chechnya has endured wars waged by Russia against terrorism. Even if it obtained its independence in 1991, it remains systematically controlled by Russia. Moreover the Chechen president follows the policy of the Kremlin, which forces him to accept Russian troops in his country. Security has been restored today but at the expense of very heavy losses. The Chechen president assures that Chechnya is one of the most secure regions of Russia and that the situation is controlled. However Dmitry Medvedev claimed that the fight against terrorism will not be slowed down and expressed a divergent opinion that the war was not over yet and that it would be only stopped when terrorism was destroyed, and so major destructions are still expected.


Samedi 28 mars :
La Russie libère la Tchétchénie du régime spécial
Depuis la chute de l’URSS, la Russie avait lancé une deuxième guerre en Tchétchénie contre le terrorisme pour chasser les rebelles, séparatistes et militants islamiques. Le Président Poutine avait assimilé les séparatistes tchétchènes aux terroristes d’Al Qaïda après le 11 septembre 2001. La Russie avait donc décidé d’instaurer un régime spécial de sécurité afin de lutter contre le terrorisme en installant des barrages routiers, en traquant les combattants islamiques et en imposant des couvre-feux. La Tchétchénie abrite donc des milliers de soldats des troupes fédérales russes.
Durant cette guerre le pays a subi de lourdes pertes avec des destructions de bâtiments, hôpitaux et notamment dans la capitale tchétchène, Grozny. Cette période a accéléré le chômage dans le pays et a augmenté le nombre de sans abris.
Aujourd’hui le président tchétchène Ramzan Kadyrov déclare que « La Tchétchénie est l’une des régions les plus calmes de la Russie ». Vendredi 27 mars, les présidents russe et tchétchène ont discuté sur la façon dont la Tchétchénie va être reconstruite et son économie relancée. Dmitri Medvedev a déclaré que « La situation en Tchétchénie est normalisée dans une large mesure » et que « Nous devons créer de nouvelles possibilités d’investissement et d’emplois ».
Le président russe a supprimé le régime spécial même s’il assure que la lutte contre le terrorisme ne sera pas ralentie dans les régions où la violence se poursuit, c'est-à-dire dans les républiques d’Ingouchie et du Daguestan.
Diana
http://www.themoscowtimes.com/article/1010/42/375580.htm
http://news.bbc.co.uk/2/hi/europe/7968847.stm

Mon point de vue : Depuis longtemps la Tchétchénie subit des guerres contre le terrorisme de la part de la Russie. Même si elle a obtenue son indépendance en 1991, elle reste systématiquement contrôlée par la Russie. De plus le président tchétchène suit la politique du Kremlin ce qui l’oblige à accepter les troupes russes dans son territoire. La situation semble aujourd’hui apaisée mais au prix de très lourdes pertes. Le président tchétchène assure que la Tchétchénie est l’une des régions les plus sûres de la Russie et que la situation est maîtrisée. Cependant Dmitri Medvedev en déclarant que la lutte contre le terrorisme ne sera pas ralentie montre au contraire que la guerre n’est pas finie et qu’elle ne s’arrêtera que lorsque le terrorisme aura été éradiqué ce qui peut encore engendrer des dégâts importants.