samedi 5 février 2011

Language handicap

Russia has a great problem with the English language and it’s really detrimental to relationship with foreign countries.

Recently a Russian academy translated its website intoEnglish but there were a lot of mistakes. For exemple the Belka Institute became the Squirrel Institute as Belki means squirrel in Russian, Wich was really humiliating. Even the Sports Minister uses approximate English.

The government has decided to react and wants 20% of state workers to know a foreign language and new bureaucrats to be competent in English by 2020.


Paradoxically, the Russian vocabulary includes more and more words derived from theEnglish language and not only in buisness. Words like tineydzhery for teenager or riteyl for retail are emerging in modern Russian.

Some people protest against this anglicisation like linguist Yury Alekseyev who thinks that it’s better to use Russian words rather than a mixture of English and Russian especially when those words are meaningless.

To stop the anglicisation, the government bans companies from using English catchphrases without translation.

My opinion: If Russia has difficulty with foreign languages it is because it has long believed it could stand on its own but now it has been overtaken by globalization, which requires the use of English as a common language. The use of new words with English roots is not a separate case in a period of globalization. The French too coined words like tennisman, which as no meaning in English. So if Russia knows this problem only now, it proves that it has refused globalization for a long time.

Sébastien

http://www.guardian.co.uk/world/2011/jan/14/russian-officials-must-speak-foreign-language

Handicap linguistique

La Russie a d’importants problèmes avec l’emploi de l’anglais, ce qui peut être très néfaste pour les relations internationales.

Récemment une académie russe a voulut traduire son site web en anglais, malheuresement cette traduction contenait beaucoup de fautes avec des noms déformés comme pour l’Institut Belka qui était devenu l’Institut Ecureuil. Ce fut une humiliation internationale. Même le Ministre des Sports possède un anglais très approximatif.

Le gouvernement ayant reconnu le problème veut que d’ici 2020, 20% de ses employés maîtrisent une deuxième langue et que les nouveaux fonctionnaires soient obligés d’avoir des compétences en anglais.

Paradoxalement, le vocabulaire russe contient de plus en plus de mots dérivés de l’anglais et pas uniquement dans le vocabulaire des affaires. Des mots comme tineydzhery pour adolescent ou reteyl pour la vente au détail apparaissent dans le langage courant.

Certaines personnes s’insurgent contre cette anglicisation comme Yury Alekseyev un linguiste qui pense qu’il est préférable d’utiliser des mots de souche russe plutôt que des mélanges anglo-russe surtout quand ces mélanges n’ont aucun sens.

Pour stopper cette anglicisation le gouvernement interdit aux entreprises l’affichage de slogans en anglais sans traduction.

Mon opinion: Si la Russie a des difficultés avec les langues étrangère c’est parce qu’elle s’est longtemps crue capable de se suffire à elle-même mais aujourd’hui elle s’est fait rattrapée par la mondialisation qui passe évidemment par l’utilisation d’une langue commune, l’anglais. L’emploi de nouveaux mots de source anglaise n’est pas un cas unique en période de mondialisation même en France par exemple avec l’invention de mots, comme tennisman, qui n’existe pas en anglais. Le fait que la Russie rencontre ce problème seulement maintenant prouve donc qu’elle a longtemps résisté avant de se résigner à accepter la mondialisation.

Sébastien

http://www.guardian.co.uk/world/2011/jan/14/russian-officials-must-speak-foreign-language

Aucun commentaire: