dimanche 16 octobre 2016

Cold War is back

Friday 7 October, Russia was officially shamed and blamed by the Obama Administration for interfering with the US elections by way of cyber-attacks one month before the new president is inaugurated.

Russia had already been suspected since July of seeking to influence the vote in favor of the Republican candidate Donald Trump.

This accusation that smacked of the Cold War marked a turning point in Russia and United States relations.

These attacks compromised thousands of citizens’ mails and American organizations including Hilary Clinton’s party.

The White House added in its announcement that only Russian senior officials could have authorized those attacks. The Kremlin called this claim unjustified.

This is a new spectacular development in the escalating tensions between the two countries on a number of issues, Syria topping the list.


La Guerre froide est de retour


Vendredi 7 octobre, la Russie a officiellement été accusée par l’administration Obama d’avoir tenté d’interférer dans les élections américaines par des attaques informatiques, un mois seulement avant l’investiture du nouveau président.

La Russie était déjà soupçonnée depuis juillet de tenter d’influencer le vote en faveur du républicain Donald Trump.

Cette accusation qui a un parfum de Guerre froide représente un tournant dans les relations américano-russes.

Ces attaques ont touché des milliers de mails de citoyens et d’institutions américaines, y compris le parti démocrate d’Hilary Clinton.

La Maison Blanche a ajouté dans un communiqué que seul des hauts responsables russes auraient pu autoriser ces attaques, le Kremlin a qualifié cette incrimination d’injustifiée.

C’est un nouveau développement spectaculaire dans l’escalade des tensions entre les deux pays sur de nombreux dossiers, en particulier la Syrie. 

Aucun commentaire: