mardi 5 avril 2016

Radioactivity both contaminates and cures

Earlier in March, Siberian scientists successfully performed an experimentation to cure cancerous tumors using an accelerator-based neutron beam.

The experiment concerns every type of cancer but those which respond to traditional treatment. For instance, Jack – the father of two young girls - suffering from glioblastoma, a common form of brain tumor with an average life expectancy of about a year, will now be able to see his children grow thanks to this new treatment.

Researches were carried out by Kei Nakai, a Japanese neurosurgeon from the university of Tsukuba and Alexander Zaboronok, a Russian scientist at the Institute of Nuclear Physics.

The experiment’s purpose was both to confirm that boron-infused cancer cells actually died for having been exposed under a neutron beam and also to establish the necessary dose and time to achieve this result. Aware that it was impossible to completely remove cancer cells using conventional methods, scientists already knew standard nuclear fusion properties into conducting indirect fire. Their strategy was to plant explosives and detonate them.

With a unique design accelerator, Russian scientists are the first in the world to have developed a device able to irradiate cancer cells.

"There was a huge risk that it might not work at all," said Dr. Taskayev Indeed they were perplex, when they started in 2003 and achieved designing the necessary parameters of the beam in 2015.

Now, due to the experiment’s success, they forecast to apply, as early as 2017, the treatment to laboratory animals. Scientists hope to start it on human beings by 2018.


http://rbth.com/science_and_tech/2016/03/16/can-nuclear-fusion-cure-cancer_576353



La radioactivité contre le cancer



A la fin de l'hiver 2015 un nouvel espoir se lève pour les victimes atteintes de cancers. En effet, des scientifiques sibériens ont découvert un nouveau processus de guérison des cellules cancéreuses par la radioactivité.

Tous les types de cancers sont concernés à l'exception de ceux bénéficiant déjà d’un traitement initial performant. Dans le cadre de ce nouveau protocole, la diffraction nucléaire produite par un accélérateur de particules permettrait de guérir tous les types de tumeurs. Grâce à ce nouveau traitement, Jack - un jeune papa de deux petites filles - souffrant de glioblastome, une forme assez fréquente de tumeur du cerveau qui ne laisse en moyenne qu’une seule année de survie, aura la chance de voir ses filles grandir.

Les recherches ont été menées avec la collaboration d’un neurochirurgien japonais de l’université de Tsukuba, Kei Nakai et d’un scientifique russe de l’institut de physique nucléaire, Alexandre Zaboronok .

Le principal objectif de cette expérience était de confirmer d'abord la possibilité d'éliminer les cellules cancéreuses injectées dans l’élément chimique du bore puis exposées à une diffraction des rayons X puis de régler les paramètres finals de l’expérience : dosage, durée d’action. Conscients que l’application de méthodes conventionnelles ne suffirait pas à éradiquer totalement toutes les cellules infectées, les scientifiques ont alors élaboré une stratégie basée sur des connaissances déjà acquises de la fusion nucléaire. Exploitant les propriétés spécifiques des rayons X ils eurent l’idée de détruire les cellules contaminées de l’intérieur. C’est-à-dire en plaçant des explosifs à l'intérieur de la cellule pour ensuite les déclencher.

Les scientifiques russes ont mis au point un concept tout à fait unique en son genre, ils sont également les premiers à avoir développé le concept d’un accélérateur de particules pouvant détruire le virus des cellules contaminées.
« Il y avait de grandes chances que ça ne marche pas du tout » a déclaré le docteur Tsakayev

En réalité ils étaient très inquiets, il leur a fallu un peu plus de 12 ans pour mettre au point ce projet. En commençant les recherches en 2003, ils achevèrent les derniers paramètres du rayon en 2015

Maintenant que l’étape expérimentale a réussi, il ne leur reste plus qu’à tester le traitement sur des animaux de laboratoire, ce qui est déjà prévu pour 2017. Quant à la phase des expérimentations sur l'homme, les scientifiques espèrent qu'elle pourra débuter dès 2018.

Elisa

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